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11 Nisan 5784‎ | 19 avril 2024

Publi-rep ortage Devenez ambassadeur

A l’occasion des fêtes de ‘Hanouka, l’Association Vaad Harabanim se mobilise afin d’apporter des réponses concrètes pour l’hiver, même si le choix des personnes à aider en priorité est toujours délicat. Cette même fête sera l’occasion pour elle d’exprimer sa reconnaissance pour le travail accompli grâce aux donateurs. Explications.

Les actions du Vaad Harabanim en faveur des plus démunis sont bien connues. Le travail sur le terrain, effectué par des bénévoles et des Rabbanim dévoués, permettent à des milliers de familles et de personnes fragilisées socialement de trouver u  n réconfort et parfois même de retrouver la vie : en 2018 ce sont des milliers de paniers alimentaires qui ont été distribués, des bourses et fonds spéciaux, des frais d’opération et de soins avancés qui ont permis d’écarter des dangers de mort. En bref, une oeuvre décisive pour aider et soutenir les défavorisés, qu’ils soient en situation délicate ou menacés dans leur chair. Mais ce que l’on connaît moins, c’est ce qui précède l’attribution des aides, et le processus qui permet  à l’incroyable élan de générosité du peuple juif de trouver une concrétisation. « Les dossiers de demande sont transmis à Jérusalem, dans notre «quartier général », explique Rav Yehochoua, l’un des responsables de l’Association. Nous nous réunissons une fois que les vérifications ont été faites afin
de décider des aides à octroyer. C’est un moment crucial et difficile à la fois. Nous voudrions aider tout le monde, mais le budget n’est pas extensible et chaque choix est un cas de conscience. » Entre la vie et la mort Ensemble, durant des réunions plénières, les Rabbanim discutent, entrevoient différents plans
d’aide, réfléchissent et proposent. « Nous devons faire preuve d’imagination, poursuit le Rav Yehochoua, car les fonds doivent être répartis le plus équitablement possible et il y a des cas qui relèvent
de l’urgence absolue : par exemple lorsqu’il s’agit d’opérations délicates à effectuer à l’étranger ou de
soins médicaux onéreux. Mais ces urgences ne doivent pas nous faire oublier que dans le domaine éducatif ou social, des gens ont également besoin de notre aide sans attendre. Dernièrement, nous
avons examiné le cas d’une famille particulièrement en détresse : Malka est mère de trois enfants et elle est devenue tétraplégique à la suite d’une très grave infection. Sa plus jeune fille a à peine deux ans et elle ne peut pas la prendre dans ses bras. Elle ne peut ni préparer à manger, ni s’occuper des enfants, ni même manger seule. Son épreuve est au-delà des mots. Malgré tous les efforts de son mari, la situation
est très compliquée et a des répercussions sur les enfants. Il faut donc trouver des solutions afin de soulager cette famille dans les plus courts délais. Même si Malka n’est plus entre la vie et la mort, elle a vraiment besoin d’aide. » Les Rabbanim sont confrontés à des épreuves très difficiles qui touchent des jeunes et des moins jeunes, et pas forcément issus des couches les plus défavorisées. Certaines familles connaissent parfois de véritables  tsunamis, événements aussi dramatiques qu’imprévisibles, qui les laissent totalement désoeuvrés. Il faut mettre en place des stratégies (aide à domicile, remboursement  des dettes, recrutement de professeurs particuliers, etc.) pour rétablir l’équilibre. Pour ce faire, les Rabbanim lancent un appel avant ‘Hanouka afin de réunir un maximum de fonds. « Nous espérons que la campagne de ‘Hanouka sera  suffisante pour soulager le maximum de personnes et de familles dévastées par la souffrance et l’angoisse. » Un Ambassadeur tiré au sort Si l’ONU a créé le poste d’ambassadeur de bonne volonté, le Vaad Harabanim a initié celui de la tsedaka. Cette année, l’Association organise un tirage au sort afin de désigner celui ou celle qui représentera la communauté
française auprès des Rabbanim. « ‘Hanouka est l’occasion pour nous, précise Rav Yehochoua, d’exprimer notre reconnaissance aux donateurs. Parce qu’ils participent toujours aussi activement
à nos projets et aussi parce que les temps sont durs et qu’ils restent malgré tout fidèles à notre oeuvre,  nous souhaitons les remercier. Pour ce faire, nous organisons un tirage au sort qui permettra au gagnant de venir en Israël de rencontrer Rav ‘Haïm Kanievsky qui donnera sa bénédiction et de recevoir de Rabbi David Abou’hatsera un magnifique parchemin contenant le passage des encens appelé  “Pitoum Haketoret”. En lisant cet extrait de la Torah dans ce parchemin, on est susceptible de recevoir une aide particulière du ciel pour la réussite financière. Une telle ségoula, offerte par reconnaissance à la générosité, a toutes les chances de fonctionner ! Nous aimerions inviter toute la communauté française, mais ne disposant pas encore des moyens pour le faire, nous désignons par le sort un ambassadeur
de la tsedaka. Ce sera un honneur pour nous de le recevoir et de lui remettre ce cadeau, symbole de l’indéfectible union entre les membres du peuple juif. »

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