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18 Nisan 5784‎ | 26 avril 2024

Colloque de l’OSM à l’occasion du 120e anniversaire du Premier Congres Sioniste  

L’Organisation sioniste mondiale a organisé le 14 janvier dernier un colloque sur le thème « Le sionisme hier, aujourd’hui et demain » qui a offert aux intervenants et aux nombreux participants un temps de réflexion, entre bilan et perspectives.

 

Près de 300 personnes, parmi lesquelles des représentants des grandes institutions communautaires, se sont pressées dans la salle des mariages de la mairie du 16arrondissement de Paris, afin de participer à cette manifestation phare du début de l’année 2018, minutieusement préparée par l’équipe parisienne de l’OSM. Avant d’entrer dans le vif du sujet, Moshé Cohen, délégué de l’OSM en France, a promis à l’assistance une après-midi dense, qui a débuté par une table ronde réunissant Michel Gurfinkiel, journaliste et géopolitologue, Ariane Bendavid, maître de conférences en littérature hébraïque à l’université de Paris-Sorbonne, et Michaël Bar-Zvi, professeur de philosophie. Après un intermède gourmand, les participants ont été salués par Marc Attali, ministre plénipotentiaire auprès de l’ambassade d’Israël, et Meyer Habib, député de la 8e circonscription des Français de l’étranger. Michaël Bar-Zvi a alors présenté la seconde table ronde, composée d’Olivier Véron, responsable de la maison d’édition Les Provinciales, du sociologue Jacques Tarnero et d’Uzi Arad, grande personnalité de la sécurité et du renseignement d’Israël.

Spécialiste des avatars de l’antisémitisme, Jacques Tarnero a dressé, de son côté, le constat sans appel d’un monde « qui n’a toujours pas compris l’importance symbolique d’Israël », comme en ont encore attesté les récentes bavures antisionistes qui ont défrayé la chronique juive (boycott sportif et politique, productions éducatives orientées, réactions fanatiques aux déclarations du président Trump sur Jérusalem…). Malgré le « conformisme » et la « paresse intellectuelle » des médias en la matière, « l’opinion publique commence à comprendre que ceux qui menacent Israël menacent aussi l’Europe ». Le chercheur s’est, par ailleurs, réjoui du travail de remise en cause effectué par certains intellectuels courageux issus de la société arabo-musulmane, appelant cette dernière à une « autodérision » salutaire. « Le prodige qui se nomme Israël devrait inspirer l’Europe », a-t-il conclu. Invité d’honneur de l’événement, le Dr Uzi Arad s’est enfin adressé à l’assemblée dans un excellent français. Fort de son exceptionnelle expérience au plus haut niveau de l’État, il a exprimé « son point de vue d’Israélien » sur le sionisme et son devenir. Face aux dangers existentiels qu’Israël doit aujourd’hui affronter, l’ancien conseiller du gouvernement à la sécurité a regretté la prolifération des prédictions apocalyptiques « dystopiques », auxquelles il préfère la recherche de consensus et le pragmatisme. « Israël est le fruit d’un immense effort, a-t-il souligné. De grands défis nous attendent, mais nous allons les relever ! ». C’est sur cette note optimiste que s’est achevé le second volet de la conférence, marqué par la visite de Claude Goasguen, député et ancien maire du 16e arrondissement. « Dans un Moyen-Orient en pleine décomposition, la légitimité appartient à Israël, a réaffirmé l’élu. Cette terre est due au peuple juif, et c’est aussi notre intérêt à nous, Français, de défendre son droit. Soyez fiers d’être juifs et sionistes ! ». En conclusion, Avraham Duvdevani, président mondial de l’OSM venu tout spécialement d’Israël, a fait valoir que l’un de deux objectifs du premier congrès sioniste n’était pas encore entièrement réalisé, celui de rassembler les Juifs du monde entier en Israël. « Depuis la création de l’État, le peuple juif a pris la responsabilité de son avenir, a-t-il lancé dans un vibrant plaidoyer en faveur de l’alya. Chaque Juif doit savoir que, s’il a une adresse ailleurs, sa maison est en Israël ! » Un vœu qui entre en résonance avec l’aspiration profonde de toute une nation.

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