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18 Adar II 5784‎ | 28 mars 2024

La création d’un Etat palestinien accélèrerait la déstabilisation et la nucléarisation du Moyen-Orient

Palestinian President Mahmoud Abbas addresses the 72nd United Nations General Assembly at U.N. headquarters in New York, U.S., September 20, 2017. REUTERS/Eduardo Munoz - RC1636165AF0

Outre les dangers qu’entraînerait l’établissement d’un « Etat de Palestine » en Judée-Samarie et à Gaza – du fait de sa vocation terroriste et de sa non-viabilité -, une telle entité aggraverait le risque d’une confrontation globale contre Israël.

 

Alors que maints experts ont averti des dérives sécuritaires explosives que génèrerait l’apparition d’une Palestine indépendante sur la longue liste des conflits d’un Moyen-Orient depuis longtemps en feu, il faut comprendre que la menace existentielle pour Israël que représenterait ce 23e Etat arabo-musulman dans la Grande région allant du Maghreb à l’Iran proviendrait d’interactions régionales encore plus dangereuses et fauteuses de guerres. Et ce, pour trois raisons principales.

 

1/ Aggravation du terrorisme anti-israélien

 

Toutes les données publiées par les organisations palestiniennes indiquent clairement que l’accès à l’indépendance de la « Palestine », bien loin de générer une quelconque paix, transformerait aussitôt ce nouveau pays en poudrière terroriste dressée contre Israël. C’est déjà le cas de la Bande de Gaza, gouvernée par le Hamas depuis 2005, là-même où Tsahal a dû mener trois lourdes opérations militaires en 2008, 2012 et 2014. Et ce sera aussi le cas des localités arabes de Judée-Samarie qui deviendraient des bases terroristes hyperactives à proximité des grandes villes israéliennes du centre du pays, d’Ashdod à Natanya en passant par Tel-Aviv et toute la région du Sharon : une dynamique incontournable du fait du « double-visage » des leaders de l’Autorité palestinienne (AP) qui parlent sans cesse de « paix », mais qui se refusent obstinément à reconnaître tout droit à l’existence d’Israël comme Etat juif ! Un refus qui, une fois la Palestine créée, se transformerait en combat radical pour éliminer ce qui restera d’Israël.

 

2/ Une 3e Intifada avec des armes de destruction massive ?

 

Alors que le risque d’une 3e Intifada est déjà très prégnant – surtout après les dernières émeutes sur le mont du Temple à Jérusalem encouragées par l’AP et le Hamas, de concert avec l’Iran -, nul doute qu’ayant accédé au rang d’Etat, la Palestine se lancerait (avec le soutien de la « rue ») dans un assaut multiforme contre Israël fait à la fois de démarches internationales pour parachever la délégitimation de l’Etat juif et aussi d’assauts terroristes tous azimuts. Or, dans ce contexte de tensions sécuritaires sur tous les fronts, il est tout à fait probable que certains groupes palestiniens islamo-djihadistes se procurent des armes non-conventionnelles de destruction massive, exactement comme Daesh l’a fait, lui qui, malgré ses défaites, menace à présent les grandes villes européennes d’attaques chimiques ou bactériologiques destructrices !

 

3/ La tentation arabe d’une attaque nucléaire arabe…

 

Scénario (plausible) du pire : devenu plus vulnérable car réduit à ses « frontières d’Auschwitz » dénoncées Abba Eban et de surcroît davantage isolé sur la scène mondiale par la dynamique d’une « Palestine » en marche, Israël serait en position défensive face à un monde arabe qui, dans le sillage de l’Accord de Vienne passé en juillet 2015 avec un Iran triomphant, est déjà en train de se lancer dans une course au nucléaire civil et militaire – comme l’Egypte, la Jordanie et l’Arabie Saoudite, soutenues financièrement et technologiquement dans cette démarche par la Russie de Poutine.

Et alors « de deux choses l’une », comme l’explique le géo-stratège américain du nucléaire, le Pr. Louis René Berès : « Soit les dirigeants arabes perçoivent la réelle vulnérabilité d’Israël, et ils se méfieront des risques d’une attaque préventive fulgurante de l’Etat hébreu ; soit ils ne la perçoivent pas (…) et estimant qu’Israël ne se défendra qu’avec ses armes conventionnelles, ils pourraient être tentés – pas seulement l’Iran des mollahs – par une attaque fatale pour détruire le Pays des Juifs ».

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