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8 Nisan 5784‎ | 16 avril 2024

La nuit du Séder

La nuit du Séder, chacun est tenu d’accomplir cinq différentes mitsvot, deux par ordre de la Torah et trois par décision rabbinique.
– Consommer la matsa : il s’agit d’une mitsva explicitement ordonnée par la Torah
– Raconter la Haggada : la Torah impose à chacun de raconter à ses enfants – ou à soi-même si l’on est seul – le récit de la sortie d’Egypte. – Consommer les herbes amères : nos Sages instaurèrent que même après la destruction du Temple, on continue de consommer les herbes amères la nuit du Séder.
– Les quatre coupes de vin : nous sommes tenus, par ordre rabbinique, de boire quatre coupes de vin selon les quantités évoquées plus haut.
– Consommer le ‘harosset : nos Sages imposèrent également que l’on consomme du ‘harosset la nuit du Séder. Ces cinq obligations sont valables pour l’ensemble des convives, aussi bien les femmes que les enfants arrivés à « l’âge de l’éducation » (Choul’han Aroukh).
Comment s’accouder ?
Cette posture de Hasséva consiste à se coucher sur le côté gauche, en appuyant la totalité du corps sur un coussin (Darké ‘Haïm Véchalom). On se penchera du côté gauche, qu’on soit droitier ou gaucher (Rama). Certains avis considèrent qu’il suffit d’appuyer la tête et la majorité du corps du côté gauche, en prenant simplement soin de ne pas se tenir droit (Aroukh Hachoul’han). On pourra s’appuyer aussi bien sur des coussins que sur l’accoudoir de son siège, mais on ne pourra pas se contenter de se pencher, sans s’appuyer sur rien. Pendant la nuit du Séder, c’est une mitsva que de se comporter avec suffisance, car ceci expiera toute la suffisance dont on a fait preuve au cours de l’année (Kaf Ha’haïm).
À quel moment s’accouder ?
Essentiellement, on doit s’accouder au moment où l’on consomme la matsa de mitsva et les quatre coupes de vin (Choul’han Aroukh et Rama 472), ainsi qu’au moment où l’on consomme l’Afikoman (ibid. 477)et le Korekh (ibid. 475). Mais pendant la consommation du karpass et des herbes amères, il n’est pas nécessaire de s’accouder. Idéalement, il convient de s’accouder pendant toute la durée du repas. Toutefois, on se rend quitte de ce devoir dès lors que l’on s’accoude pour le premier kazaït de matsa et les quatre coupes de vin.
Si l’on ne s’est pas accoudé
Si l’on a consommé le premier kazaït de matsa sans s’être accoudé, on ne s’est pas rendu quitte de son devoir et l’on a donc l’obligation de manger un nouveau kazaït, sans toutefois répéter la bénédiction « al akhilat matsa » (Choul’han Aroukh 473). Si l’on a consommé l’Afikoman sans s’accouder, il est préférable, dans la mesure du possible, de manger un nouveau kazaït de matsa. Mais si cette consommation s’avère difficile, on n’y sera pas tenu (Michna Beroura 477). Pour ce qui est des quatre coupes de vin : selon la coutume séfarade, si l’on a omis de s’accouder, on a l’obligation de boire une nouvelle coupe pour chacune des quatre coupes. Selon la coutume ashkénaze, cela dépend de quelle coupe il est question : pour la première, on ne peut pas a priori consommer une nouvelle coupe sauf si, au moment où l’on a dit le kidouch, on a eu l’intention de boire d’autres verres de vin si cela s’avérait nécessaire. Pour la seconde coupe, on peut et l’on doit boire une nouvelle coupe si l’on ne s’est pas accoudé. Mais pour les deux dernières coupes, cette option n’est pas envisageable, dans la mesure où il est interdit de boire des coupes supplémentaires à ce moment du Séder.

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