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2 Kislev 5785‎ | 3 décembre 2024

La France, l’UE et les USA des derniers jours d’Obama préparent-ils un nouveau « coup fourré » contre Israël ?

Après un premier échec en juin dernier, la 2e édition de la « Conférence de paix » programmée par le gouvernement français le 15 janvier prochain à Paris en présence des représentants de quelque 70 nations (sic) se tiendra la veille mêmedu Conseil des Affaires étrangères de l’Union européenne convoqué à Bruxelles le 16 janvier, soit à quatre jours à peine du départ de Barack Hussein Obama de la Maison-Blanche… Quel acte d’accusation préparent-ils tous contre Israël ?
« L’organisation par la France d’une conférence internationale sur le conflit israélo-palestinien permettra de remettre ce problème à lordre du jour de l’agenda international »,a déclaré voilà quelques jours le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Marc Ayrault en précisant qu’il intensifiait les efforts du quai d’Orsay et de l’Élysée en les coordonnant avec ceux de la diplomatie russe « afin de relancer la mise en place de la solution à deux États ». Et d’ajouter en commettant un demi-lapsus très révélateur :« Ce que l’on fait là, ce n’est pas par hostilité ! C’est pour essayer de créer un climat favorable à la reprise des négociations, qui ne peuvent avoir lieu qu’entre Israël et les Palestiniens. Alors que, pour l’instant, tout est bloqué ! Il faut regarder la situation en face sur le terrain : elle est dramatique, avec un risque d’augmentation de l’hostilité entre Palestiniens et Israéliens. Cette situation est dangereuse pour la sécurité d’Israël lui-même, alors que la France est depuis toujours un pays ami d’Israël ». Et Ayrault de lâcher ensuite son « mot de la fin » : « Plus la colonisation se développe, plus la perspective dun État palestinien s’éloigne. On risque d’arriver dans une impasse extrêmement grave et violente ».Des mots présentant une fois de plus – et à tort – la construction et l’existence même des localités juives de Judée-Samarie comme LA cause de l’impasse des négociations de paix entre Israéliens et Palestiniens et qui signifient bien qu’Israël sera in absentia sur le banc des accusés à Paris… Et ce, alors que les dirigeants de l’Autorité palestinienne (AP) refusent – depuis l’échec du sommet de Camp David en juillet 2000 entre Clinton, Barak et Arafat – tout dialogue avec Israël si Jérusalem n’accepte pas d’emblée toutes leurs préconditions.
Alors que du côté de l’administration américaine sortante, on compte bien saisir « l’occasion en or » de la Déclaration commune, elle aussi très anti-israélienne, qui sera publiée le lendemain 16 janvier à Bruxelles à l’issue du Conseil des ministres des Affaires étrangères de l’Union européenne, pour concocter et peut-être faire ensuite voter par le Conseil de Sécurité de l’ONU – lors des trois derniers jours du 2e et dernier mandat présidentiel d’Obama ! -, une nouvelle Résolution anti-israélienne encore plus contraignante que la 2234 déjà adoptée le 23 décembre, on comprend qu’aucun délégué israélien ne se rendra à Paris pour assister aux débats de ce « tribunal » réuni par François Hollande censé une fois de plus juger l’État hébreu…
La méfiance très justifiée d’Israël
Se voulant plus rassurant, le président du Sénat français, Gérard Larcher, en visite en Israël depuis quelques jours, devait déclarer lors d’une conférence de presse à Jérusalem : « Il n’y a pas de proposition secrète préparée par la France à l’ONU après la conférence de Paris ! (…) Car cette conférence est une amorce et pas un aboutissement ».
Quant au Premier ministre Nétanyaou, qui redoute qu’elle ne suscite de nouvelles décisions de la communauté internationale contre l’État juif, il a demandé à la diplomatie israélienne de lancer une large offensive à l’échelle internationale pour empêcher ou, du moins, minimiser la tenue de cette réunion, en évitant qu’elle n’inspire aussi une éventuelle et ultime réunion du Quartet : « C’est une conférence stérile, a-t-il dit, mais il existe des indices prouvant que l’on va tenter à cette occasion d’utiliser les décisions qui y seront prises pour faire voter une nouvelle résolution de l’ONU contre Israël. C’est pourquoi l’effort politique principal que nous déployons actuellement est d’éviter le vote d’une nouvelle résolution ».
« Nous demandons à certains pays de ne pas y participer et de bien peser leurs actions et leurs décision savant d’adopter des mesures opérationnelles », devait pour sa part révéler un haut diplomate israélien, en précisant que « dans ces conditions, ce forum international ne saurait être fructueux. Nous leur disons donc pourquoi nous estimons que cette conférence portera préjudice au processus diplomatique, lequel doit se débloquer avant tout par un dialogue direct entre Israéliens et Palestiniens ». Et ce diplomate d’ajouter : « Nous expliquons aussi que la conduite des Palestiniens est très claire : ils veulent décrocher par la voie diplomatique le retrait d’Israël sur les lignes d’avant juin 1967.Et ce, sans négociation ni compromis ni reconnaissance d’Israël comme État juif, et sans nullement s’engager à mettre fin au conflit. Un plan prévu par la résolution de l’OLP de juin 1974 pour aboutir à la disparition d’Israël ». Richard Darmon

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