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18 Adar II 5784‎ | 28 mars 2024

Succès record pour le séminaire féminin du Beth Loubavitch

oznor

Soixante-trois jeunes filles ont passé leurs vacances de juillet aux Deux Alpes avec le rav Raphaël Lebar et son épouse Cheïna, chlou’him infatigables chargés tout au long de l’année des milliers d’étudiants juifs inscrits en médecine à Paris VII. Récit et témoignages.

« Je suis sortie du séminaire féminin avec la forte envie de progresser encore, notamment en matière de casherout », nous dit Judith Nahmani, vingt-quatre ans, étudiante en médecine à Paris VII, une université répartie entre les sites hospitaliers parisiens de Bichat et Lariboisière. Ce séminaire estival d’une quinzaine de jours est organisé chaque année depuis 1972 par le Beth Loubavitch de la capitale. Depuis deux ans, il se déroule dans un hôtel haut de gamme (doté d’une piscine) de la station des Deux Alpes en juillet et non plus en août, comme c’était le cas auparavant. « Ce ‘hidouch nous a permis de bénéficier d’inscriptions supplémentaires, car beaucoup de jeunes partent en famille en août. D’autre part, les résidences de montagne sont moins fréquentées au début des congés, cela autorise une certaine intimité, favorable à la tsniout. C’est pourquoi nous avons opté pour ce changement de calendrier lorsqu’en 2017, mon épouse Cheïna et moi-même avons pris la direction du séminaire. Nous avons également multiplié les activités sportives, les chiourim et beaucoup communiqué en amont sur les
réseaux sociaux », explique le rav Raphaël Lebar, chalia›h Habad pour les étudiants de Paris VII. Le couple a succédé au rav Mendy Azimov, au rav Mendel Sudry et sa femme Rivka… En quarante-six saisons, ce rendez-vous à la fois divertissant et spirituel a vu passer de nombreux animateurs et séminaristes. Mais l’affluence, cet été, a été exceptionnelle avec le chiffre record de soixantetrois
étudiantes (contre une trentaine habituellement et quarante en 2017), pour moitié issues du double complexe Bichat- Lariboisière. Il n’y avait donc pas que de futures doctoresses et tous les niveaux de
pratique religieuse étaient représentés. « Nous pouvions choisir de fréquenter tel ou tel cours, car l’offre était vraiment variée avec six enseignantes dont Cheïna, témoigne Judith. Personnellement, le chiour
sur la casherout délivré par l’une des filles du rav Azimov m’a passionné. Chacune d’entre nous pouvait poser les questions les plus spontanées. Personne ne s’en privait, pas même les moins observantes. On ne se sentait jamais jugée. C’est pourquoi nous avons toutes décidé d’accomplir davantage de mitsvot après les vacances… J’ai retrouvé trois amies de la fac. Nous étions comme en famille et c’est essentiel pour moi qui ai fréquenté l’école juive. Dans les amphis et à l’hôpital, l’ambiance chaleureuse que j’ai connue à Ozar Hatorah, mon ancien établissement de Sarcelles, a disparu mais grâce aux Lebar, je
me sens armée pour poursuivre sereinement mes études ». L’activité des chlou›him de Paris VII est soutenue et constante : « Avec près de quatre mille Juifs, dont un peu moins de deux mille répertoriés sur nos listes, nous ne chômons pas ! », proclame le rav Lebar. Cent cinquante jeunes fréquentent l’un des locaux du mouvement (celui de Lariboisière est situé à quelques mètres de l’hôpital, dans le centre cultuel tunisien Beth Eliahou du 10e arrondissement, rue du Terrage). Ils y prennent leurs déjeuners, avec des plats casher de qualité à un prix défiant toute concurrence. Une habitude qui leur permet de se restaurer, de rencontrer d’autres étudiants juifs… et souvent de sauter le pas du kodech en se rendant aux cours du chalia’h et de son épouse. Pour les filles, Cheïna propose une réunion festive
et pédagogique le mercredi en fin de journée. Le vivier est considérable : des centaines de jeunes encore peu ou non pratiquants pourraient rejoindre leurs camarades et coreligionnaires déjà proches des « Louba » dans les mois et années à venir. Entre-temps, le couple de chlou›him a décidé de transformer l’essai réussi de ce mois de juillet en organisant une rencontre mensuelle entre les ex-séminaristes
les dimanches précédant Roch ‹Hodech. Repas, conférences, ateliers… : une manière de prolonger leur séjour estival dans la bonne humeur, la camaraderie et la volonté d’avancer toujours plus loin sur la
voie du kodech.

Axel Gantz

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