sohbet hattı numarası seks hattı numara istanbul escort bayanlar sohbet hattı numaralar seks hattı numaralar" ucuz sohbet hattı numaraları sohbet hattı sex hattı telefonda seks numara sıcak sex numaraları sohbet hattı canlı sohbet hatları sohbet numaraları ucuz sex sohbet hattı numaraları
yeni casino siteleri
10 Heshvan 5785‎ | 11 novembre 2024

Emmanuel Macron en Israël au printemps 2018

Le président de la République a annoncé, devant l’assemblée générale annuelle des ambassadeurs de France réunis à l’Elysée le 29 août qu’il se rendra en Israël au printemps prochain. Il a précisé que Paris devait « continuer à peser » au Proche-Orient. « Nous poursuivrons nos efforts conjoints avec l’ONU pour une solution à deux Etats vivant en sécurité et dans des frontières reconnues par la communauté internationale », a-t-il dit, rappelant qu’à ses yeux, Jérusalem devait être la capitale partagée d’Israël et de la future Palestine.

Le président français se rendra, au cours du même voyage, à Ramallah, Beyrouth et Amman.

Dans son message au corps diplomatique, Emmanuel Macron a encore affirmé que la lutte contre le terrorisme devait être « la première priorité » du Quai d’Orsay. « Daesh est notre ennemi. L’angélisme n’est pas de mise, pas davantage qu’une peur de l’islam qui confondrait islamiste et islamique, a-t-il martelé. La sécurité de nos concitoyens est pour moi une exigence viscérale. Nous devons y répondre sans faiblir ». Il a également estimé que l’éradication du djihadisme passait par « l’assèchement de son financement » et annoncé l’organisation d’une conférence internationale sur ce thème. Elle aura lieu à Paris début 2018.

Concernant l’évolution des rapports de forces dans la région, le président  Macron a souligné qu’il était nécessaire à ses yeux de ne pas « choisir son camp » entre l’Arabie saoudite et l’Iran. « Certains l’ont fait, c’est une erreur, a-t-il jugé, faisant allusion à la proximité de Donald Trump avec Ryad. La force de notre diplomatie est de parler à tous ». A ce sujet, il a réitéré son attachement à l’accord de 2015 sur le nucléaire iranien, susceptible d’être remis en cause du fait de la détérioration des relations entre Washington et Téhéran. Il n’y aurait selon lui « aucune alternative à cet accord ».

Enfin, il a défendu l’idée d’un groupe de contact « associant les principaux acteurs engagés en Syrie » sous l’égide de la France, espérant reprendre l’initiative dans un dossier où l’influence du Quai d’Orsay n’a cessé de décliner depuis le début de la guerre.
 

 

 

 

301 Moved Permanently

301 Moved Permanently


nginx/1.18.0 (Ubuntu)