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17 Nisan 5784‎ | 25 avril 2024

Pourquoi et comment éviter à nos enfants l’abus de psychotropes

Accepteriez-vous de donner une amphétamine à votre enfant dès l’âge de 6 ans ?
Peut-on résister à la pression de l’école et du système qui tend à enfermer nos enfants dans des profils « d’agités » où, pour le système, seule l’amphétamine peut résoudre ce problème ?
Y a-t-il une alternative pour résister à cette pression ?
Cette molécule de la famille des amphétamines – plus connue sous le nom de Ritaline, Concerta, Quasyn, nom chimique : méthylphenidate – est donnée, voire imposée à un trop grand nombre d’enfants en Israël.
Tous les enfants traités aujourd’hui en ont-ils vraiment besoin ?
Peut-on et doit-on résister à la pression du système pour éviter d’installer ce traitement au vu d’un questionnaire sans recours à un neurologue du choix des parents ? Et surtout sans essayer d’adapter le système à l’enfant au lieu de forcer l’enfant à entrer dans un moule qui ne lui convient pas tel quel ? Bien prescrite ce chlorhydrate de méthylphenidate sauve et aide avantageusement des enfants psychotiques, avec une imagerie bien documentée de problème lié à une faille dans la transmission dopaminergique (dysfonctionnement du système dopaminergique dans le striatum). La majorité des médecins s’accorde à louer l’apport certain de ces psychotropes chez ces patients au profil bien défini. De là à classer tous les « agités » dans ce profil, nombreux sont ceux qui s’y opposent.
Comme dans toute installation de prescription au long cours, qui engage le devenir et l’avenir du patient, le parent ou le patient majeur doit avoir droit au recours d’un autre neurologue que celui qu’impose le système, ou un autre analyste du comportement choisi par le médecin, le parent ou autre, cela s’appelle le droit à une « seconde opinion ».
Les mises en garde sont nombreuses, en voici quelques-unes : liste non exhaustive.
Tous nos enfants dits « agités » sont-ils psychotiques ?
Avant de penser prescrireun psychotrope à nos enfants, voici des extraits de mise en garde et leurs références qui permettront aux parents, au corps enseignant, et au système si prompt à cataloguer nos enfants avant de leur imposer cette chimie loin d’être anodine. L’ANSM (l’agence nationale de sécurité du médicament) a publié une brochure à l’attention des patients et de leur entourage à propos de la prescription du méthylphenidate (ritaline) aux enfants souffrant de trouble déficitaire de l’attention associé à l’hyperactivité (TDAH). Brochure publiée le 17 juillet 2013.
« Risques liés au méthylphenidate » « Pourquoi ce médicament est-il sous surveillance ? » « Produit aux nombreux effets indésirables » (sujet qui anime les débats d’experts depuis longtemps)
La revue « Prescrire » pointait l’effet coupe-faim (famille des amphétamines) L’ANSM relève selon de nombreuses études comparatives : « retard de croissance chez l’enfant :-2 cm et -2,7 kg par rapport à la moyenne au bout de 3 ans de traitement ». « des risques d’effets indésirables neuro-psychiques et cérébro-vasculaires »
L’ANSM met en garde sur les « risques de mésusage et de dépendance qui nécessitent une surveillance particulière ».
L’ANSM recommande « un suivi régulier, en particulier de la tension artérielle, de la fréquence cardiaque, de la taille et du poids chez l’enfant, de l’humeur et du comportement. Et une réévaluation régulière de la nécessité de poursuivre le traitement….. et respect des conditions d’utilisation pour limiter la survenue d’effets indésirables graves. »
Conclusions des études faites par le Dr Breggin
Pour corroborer toutes ces mises en garde, le Dr Peter Breggin publie sur son blog : « Dr Breggin sur MadinAmerica.com » les résultats d’une série d’enquêtes dont voici des extraits.
À eux seuls les titres sont très éloquents : « Le temps d’arrêter de diagnostiquer psychologiquement et de droguer les enfants »
« Sur une population d’enfants de 7 à 9 ans traités pour un diagnostic d’hyperactivité comparativement à un groupe d’enfants “normaux” de la même période : taux plus élevés de décès précoces, d’atrophie du cerveau, de suicide, d’hospitalisation psychiatrique, d’incarcération et de toxicomanie. Presque toutes les mesures donnent : réduction de la qualité de vie et vie raccourcie. » « Au lieu de l’espoir et l’enthousiasme pour leur avenir, trop d’enfants grandissent en croyant qu’ils sont intrinsèquement défectueux et contrôlés par de mauvais gènes et des déséquilibres biochimiques. » « Ils sont enchaînés par l’idée qu’ils ont le TDAH (Trouble Déficitaire de l’Attention associé à l’Hyperactivité) et ensuite, subjugués par les médicaments qui vont inévitablement de pair avec le diagnostic. À moins que quelque chose n’intervienne, beaucoup d’entre eux continueront à passer leur vie dans un état de drogue, démoralisés. »
Et voici la conclusion qui interpelle vraiment tant elle est vraie pour Israël, alors que l’article concerne l’Amérique.
« Les parents de tout le pays subissent des pressions et sont contraints par l’école de donner des médicaments psychiatriques à leurs enfants.
« … Les enseignants, les psychologues scolaires et les administrateurs font couramment de sérieuses menaces sur leur incapacité d’enseigner aux enfants sans médicaments. »
« Souvent les écoles RECOMMANDENT des médecins particuliers qui favorisent l’utilisation de stimulants pour contrôler le comportement….. »
Voulez-vous cette « NON-VIE » pour votre enfant ? L’alternative existe. Mobilisez-vous !
Maurice Gabay

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