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9 Adar II 5784‎ | 19 mars 2024

La pandémie de Coronavirus pourrait-elle « calmer le jeu » au Moyen-Orient ?

An Israeli soldier stands next to signs pointing out distances to different cities, on Mount Bental, an observation post in the Israeli-occupied Golan Heights that overlooks the Syrian side of the Quneitra crossing, Israel May 10, 2018. REUTERS/Ronen Zvulun TPX IMAGES OF THE DAY - RC1D6EF6AF90

Des analyses aux conclusions assez contradictoires s’interrogent sur le fait de savoir si ce virus dévastateur pourrait amener ou non davantage de calme, voire de paix, dans la région.

A priori, le fait que de nombreux pays du Moyen-Orient ont actuellement comme priorité écrasante, mais pas toujours réalisable, d’enrayer la propagation du Corona sur leur territoire pourrait nous amener à penser qu’il devrait en résulter – du moins pour un temps – une certaine accalmie, y compris dans les conflits aigus qui perdurent en Syrie, au Yémen et en Libye, sans parler de l’Irak et de l’Iran, ni même de la Bande de Gaza…

Quelques signes apparemment encourageants

Plusieurs indicateurs relevés ces deux dernières semaines pourraient ainsi pousser à un certain optimisme : le fait que l’armée iranienne, celle de la Jordanie et aussi Tsahal ont été déjà mobilisées pour aider à contrer la pandémie. Et encore le fait que d’autres pays toujours obstinément engagés dans des conflits ouverts – comme la Turquie au nord de la Syrie et en Libye – devront établir, plus vite qu’ils ne l’ont voulu, un « ordre de priorité » entre leurs ambitions géopolitiques et les multiples dangers internes du Coronavirus… Ce qui vaut aussi pour le Qatar, lequel a jusque-là annoncé la poursuite de son important soutien financier au régime Hamas à Gaza.
Or ce genre de dilemmes entre le maintien de leurs objectifs régionaux et leurs exigences hurlantes de l’heure risque fort de concerner dans les prochains jours de nombreux pays du Moyen-Orient car, si la pandémie continue à se développer rapidement, leurs ressources économico-financières et leurs infrastructures sanitaires ne feront certainement « pas le poids » face à la vague de désastres qui s’annoncent… Et ce, notamment dans des pays ou entités étatiques branlants tels le Yémen, le Hamas de Gaza, l’Autorité palestinienne de Ramallah, et même le Liban.

L’éventualité de fuites en avant encore plus totalitaires et agressives…

Toutefois, malgré les difficultés structurelles évidentes de tous ces Etats despotiques de la région à se confronter à une pandémie de cette envergure, certains régimes en danger pourraient paradoxalement faire le choix à un moment donné d’une « fuite en avant » – agressive à l’intérieur, voire belliqueuse à l’extérieur – pour tenter de faire du Coronavirus un véritable « bouc émissaire » de leurs propres faiblesses.
On pourrait concevoir ainsi que certains Etats n’utilisent cette situation de grave crise sanitaire pour porter encore plus atteinte aux libertés publiques et aux droits de l’homme sur leur propre territoire, tout en se préparant à de nouvelles opérations militaires au-delà de leurs frontières.
C’est le cas en particulier de l’Iran qui, après avoir déployé des bataillons de son armée dans et aux portes des grandes villes aux côtés des commandos anti-émeutes du puissant corps des Gardes de la Révolution islamique, pourrait être à nouveau tenté de faire monter les tensions en Irak en faisant encore tirer des roquettes sur le contingent américain par les milices chiites locales. Et peut-être aussi en s’en prenant d’une manière ou d’une autre à Israël, grossièrement accusé ces dernières semaines par les mollahs d’avoir propagé « avec l’aide des USA » le Coronavirus dans leur pays… Et ce, afin de tenter de détourner « contre l’entité sioniste » la colère et le mécontentement populaires montants à Téhéran et dans le reste du pays à l’encontre du régime…
Par ailleurs, bien que leurs attaques aient quelque peu diminué en mars, certains groupes terroristes comme Daësh – toujours présent en Syrie, en Irak et dans le Sinaï- ou comme les milices chiites pro-iraniennes en Irak et au Yémen pourraient profiter de la pandémie pour perpétrer de nouveaux attentats.

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