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16 Nisan 5784‎ | 24 avril 2024

Michpat Chalom : L’Etrog endommagé

Question : David a choisi un magnifique étrog dans l’un des stands de Jérusalem. Il demande au vendeur la permission de le montrer à son Rav pour qu’il confirme que son niveau de casherout justifie son prix élevé. Ce n’est qu’après 24 heures qu’il rencontre son Rav qui déclare cet étrog probablement passoul, impropre ! Il lui montre qu’une légère partie de la chair a été retirée. Le vendeur est mécontent de la nouvelle et prétend qu’il s’agit de son plus bel étrog. Il affirme l’avoir soigneusement vérifié et n’avoir remarqué aucun défaut ! Il accuse David d’avoir causé ce dégât par inadvertance et lui demande de lui payer cet étrog. Pour sa part, David lui assure qu’il l’a manipulé avec beaucoup de soin.

Réponse : Le Choul’han Aroukh (224 ; 2) écrit qu’un boucher découvre une aiguille dans les poumons de la bête qu’il vient d’acquérir, ce qui la rend tréfa (impropre à la consommation), et en réclame donc le remboursement au vendeur de bétail. Ce dernier rétorque que l’incident a peutêtre eu lieu chez le boucher après l’achat. Dans ce cas, la règle est qu’on effectue la datation d’un événement survenu à un moment inconnu selon la dernière situation de l’objet. La bête se trouvant chez le boucher quand on a découvert l’aiguille, on suppose, dans le doute, que la bête a avalé l’aiguille chez lui. Il en est de même pour celui qui achète un étrog. Mais cette règle est valable uniquement lors d’un achat. En effet, les Tossafot (Nida 58a) écrivent que cette règle ne concerne pas un emprunteur puisque l’objet appartient encore à son propriétaire et se trouve dans son domaine. Or la Guémara ( Baba Metsia 81a, retenue par le Choul’han Aroukh 186 ;1) écrit que celui qui emporte un cadeau du magasin dans l’intention de l’offrir à sa fiancée, s’il lui plait, est considéré comme un emprunteur (qui endosse toutes les responsabilités) à l’aller et, à sa restitution (s’il ne plait pas à sa fiancé), comme un gardien rémunéré (du fait du profit qu’il a tiré de la possibilité d’achat). Il en sera de même dans notre cas. David n’est pas encore acheteur et le étrog est actuellement dans le domaine du vendeur. Dans le doute, le vendeur ne pourra donc pas faire payer David.

Conclusion : David pourra rendre l’étrog sans le payer.

RAV RÉOUVEN COHEN

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