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11 Nisan 5784‎ | 19 avril 2024

Les Tefilines qui sauvèrent des milliers de personnes

Récit de Kobi Levy

Mon ami Ephraïm Berdah me téléphona un jour, plein d’émotion.

« Tu ne vas pas me croire !! Je viens de recevoir un mail d’un ami nonreligieux d’Amérique, et il me raconte une histoire, quelque chose d’incroyable… Un récit de Hachga’ha (Providence divine) extraordinaire… Mon ami d’Amérique est un homme d’affaires éloigné de toute pratique religieuse, mais après qu’il a discuté avec moi au téléphone il était haletant… “Le monde a un Créateur, je n’ai pas de doute là-dessus», c’est ainsi qu’il a conclu la conversation. »

Ephraïm Berdah me renvoya ce mail en anglais, et voici le récit extraordinaire d’une paire de Tefilines qui put sauver des milliers de personnes.

David Miller est un jeune homme d’affaires religieux qui doit de temps en temps voyager en avion à travers l’Amérique pour des rendez-vous d’affaires. Outre sa valise de documents, il n’oublie pas de prendre avec lui son étui de Tefilines où sont gravées les lettres d’or D.M. Au cours de ses voyages, David veille scrupuleusement à ne pas rater une Tefila en Minyane et à réciter le Keriat Chema du matin à l’heure.

Ce jour-là, David devait prendre le vol 175 de la compagnie United, pour un rendez-vous d’affaires dont il espérait gagner une somme considérable. Six heures de vol uniquement le séparaient de la conclusion de cette affaire, pensait-il. Il se trouvait déjà au terminal, et attendait qu’on appelle les passagers.

Au signal d’appel, David saisit sa valise dans la main gauche et l’étui de Tefilines dans la main droite. Il se dépêche de rejoindre la passerelle qui mène à la rampe de l’avion. Soudain le téléphone portable qui se trouve dans la poche de sa chemise sonne. David s’arrête, c’est sa femme au bout du fil.

« Oui, Rivka », il répond et pose l’étui de Tefilines sur une chaise métallique qui se trouve à l’entrée de la passerelle. Il arrange le téléphone sur son oreille et continue à avancer. La conversation prend fin, David gravit rapidement la rampe, entre dans l’avion et prend place. Il regarde sa montre et voit la porte de l’avion se refermer sur le dernier passager.

« Attachez vos ceintures », commande le pilote.

David remarque soudain que l’étui des Tefilines n’est pas posé sur ses genoux comme à l’accoutumée. « Où l’ai-je oublié ? » s’interroge-t-il. Et alors il se souvient, l’étui n’est pas loin, mais l’avion commence à avancer.

David ébranlé s’adresse à l’hôtesse de l’air : « S’il-vous-plaît, demandez au pilote de m’attendre une minute. J’ai oublié mes Tefilines à l’entrée de la passerelle qui mène à l’avion. C’est à peine à trente mètres d’ici. »

L’hôtesse de l’air lui répond avec sa courtoisie américaine : « Je regrette Monsieur, mais nous devons respecter nos horaires. La porte est déjà fermée ». David n’abandonne pas la partie. Il élève la voix. « Je demande à parler au pilote. C’est tout simplement inconcevable… Un Juif ne peut rester sans ses Tefilines ». Et les voyageurs de l’avion de prendre son parti : « Laissez-le descendre, big deal… en une minute et demie il revient avec ses Tefilines… »

Le pilote s’entête : « Je suis désolé Monsieur, la responsabilité de l’emploi du temps ne vous incombe pas, et avec tout le respect pour vos Tefilines, notre compagnie a ses principes… Nous sommes aussi dépendants des horaires des autres aéroports et des parcours de vol… » Le jeune Miller ne cède pas. La discussion monte à des tons élevés, les deux côtés tâchent de rester respectueux cependant. Cela dure de longues minutes. Il supplie, eux refusent.

« J’aurais pu déjà plusieurs fois aller et revenir, vous êtes tombés sur la tête, ou quoi? », s’emporte David. Au bout d’un certain temps, le pilote cède et avertit le voyageur importun : « Cher ami, je vous ouvre la porte, courez à vos Tefilines, mais vous ne pourrez pas revenir. Je verrouille la porte et prends mon envol. Goodbye. Au revoir ».

David tente de le convaincre qu’il revient aussitôt, il le prie d’avoir pitié de lui. Il se précipite de l’avion, se hâte de rejoindre la passerelle, l’étui des Tefilines était encore posé à l’entrée sur la même chaise. Il court vers l’avion… Mais c’est trop tard. Les moteurs à réaction ronronnent déjà et l’avion se met à accélérer en vue du décollage. Une grande déception se lit sur le visage de David. L’affaire qu’il devait conclure est en péril… Le vol 175 de la Compagnie United n’arriva jamais à destination. Les terroristes d’Al Qaïda prirent le contrôle de l’avion au cours du vol, et le dirigèrent vers les tours jumelles, à New-York : ce fut la catastrophe du 11 septembre.

D’après les prévisions minutieuses et sataniques des adeptes de Ben-Laden, les deux avions devaient se heurter aux Twins au même moment. A cet instant même – ainsi avaient-ils prévu – les avions devaient percuter les tours géantes, et provoquer un choc épouvantable et un incendie aux proportions inimaginables. Cela devait causer un attentat d’une dimension encore plus spectaculaire. Des experts estiment que dans un tel cas de figure il n’y aurait eu aucun survivant. 18 minutes : telle fut la durée de la discussion entre l’obstiné David Miller et le personnel de l’avion. 18 minutes exactement, soit la valeur numérique de ‘Haï (vivant). Ces 18 minutes, suite à la panique qui suivit le heurt du premier avion, suffirent à faire évacuer du deuxième bâtiment, qui était encore intact, 10 000 personnes. Ces minutes de vie semblèrent une éternité, alors que personne ne s’imaginait encore qu’un deuxième avion était sur le point de s’écraser. La panique avait joué son rôle.

Des milliers de personnes qui se ruèrent des tours à ce moment purent ainsi échapper au désastre effroyable qui allait avoir lieu peu après. Voici un récit de Hachga’ha. Un jeune Juif est prêt à sacrifier beaucoup d’argent pour la Mitsva de Tefilines, l’essentiel étant d’accomplir la volonté de son Créateur plutôt que de rechercher son propre intérêt. Des milliers de personnes, dont des milliers de Juifs, doivent ainsi leur vie aux Tefilines de David Miller, et, plus précisément, à son dévouement pour ne pas rater cette précieuse Mitsva.

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