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2 Kislev 5785‎ | 3 décembre 2024

Après les bombardements, les répercussions économiques

Firefighters near a building which was set ablaze caused by a rocket fired from the Gaza Strip, in the southern Israeli city of Sderot on November 12, 2018. Photo by Hadas Parush/Flash90 *** Local Caption *** çöø áéú ùãøåú èéì òæä éùøàì àù

Le cessez-le-feu conclu mardi 13 novembre a mis fin, provisoirement peutêtre, aux hostilités dans la bande de Gaza, et il permet ainsi de limiter le volume des dégâts causés par ce dernier round de combats. Il convient alors que l’on semble assister à un délicat retour au calme de savoir comment les habitants qui ont été touchés matériellement par les roquettes et missiles palestiniens vont être dédommagés. Il faut savoir qu’il existe un fond gouvernemental de 14 milliards de shekels dont la
mission est de palier aux besoins multiples des personnes ayant vu leurs biens mobiliers ou immobiliers détruits ou endommagés par des missiles du Hamas. La presse et les médias israéliens ont diffusé après les bombardements un numéro de téléphone qui est celui des impôts : ceux-ci se chargent d’envoyer aux
habitants demandeurs des experts qui pourront évaluer au shekel près le montant des dégâts directs. Cependant les démarches administratives permettant d’obtenir cette somme peuvent durer de longs jours et l’attribution des dédommagements peut prendre plusieurs semaines, voire dans certains cas plusieurs mois. A cela il faut rajouter les dégâts collatéraux comme les pertes de journées de travail et ce fonds peut aussi dans certains cas offrir des dédommagements à ceux qui n’ont pas pu aller travailler.
Et justement comme l’explique le Dr Daniel Gugenheim, économiste : « Parmi les répercussions marquantes de ce nouveau round de confrontation, il y a le ralentissement très net de l’activité économique dans ce Sud qui est déjà dans une situation sociale difficile. Durant cette période de tension, les Israéliens du pourtour de la bande de Gaza et même de villes comme Ashkelon ne sortent pas à l’extérieur et restent soigneusement à proximité de leur chambre étanche. » Il faut préciser que cet été encore, c’est la moitié des forêts du sud d’Israël qui a brûlé sous les ballons incendiaires du Hamas, paralysant ainsi les ressources d’un secteur où l’agriculture représente encore un important apport. Enfin, l’état d’alerte permanent a considérablement diminué l’attractivité touristique
de la région, et est parvenue à mettre à bout l’infinie patience des Israéliens. Ces villes du sud se sont progressivement transformées en villes-dortoirs et ont vu leur niveau de consommation chuter de façon drastique devant un conflit qui ne semble pas vouloir finir.

M.S.

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