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10 Nisan 5784‎ | 18 avril 2024

Supplément Torani

UNE ÉTUDE QUOTIDIENNE DU SÉFER HAMITSVOT DU RAMBAM
Vous pouvez consulter l’étude du Séfer Hamitsvot sur le site du Beth Loubavitch www.loubavitch.fr. Retrouvez l’étude quotidienne du Rambam sur le serveur vocal LE’HAIM : 01 76 34 77 77 Vous pouvez également commander le livre du « Séfer Hamitsvot » sur www.editions-loubavitch.fr avaient eux-mêmes une forme naturelle :

il n’y pas eu de bouleversement des lois de la nature, mais c’est simplement la tournure « naturelle » des
choses qui a penché en faveur d’Israël. La prière d’Avraham Voilà donc qui explique pourquoi Avraham n’a pas voulu prier en faveur de son épouse Sarah. En effet, nos Sages enseignent (Yevamot 64/b) que Sarah avait été déclarée aylonit – c’est-à-dire qu’elle souffrait d’une affection congénitale résidant de sa nature même, la privant notamment de matrice. Par conséquent, pour qu’elle pût enfanter, il eût fallu remodeler son corps et changer ce que la nature avait déjà bel et bien établi. Or, comme nous l’avons vu, formuler une telle demande à D.ieu relève des « prières vaines ». C’est pourquoi Avraham se contenta de prier pour lui-même, et non en faveur de Sarah. Si l’attitude du patriarche est désormais résolue, nous devons à présent revenir sur le point par lequel cette étude a débuté : comment Sarah a-t-elle finalement été exaucée, et pourquoi précisément à Roch Hachana ? « Qui ressuscite les morts… » Le Choul’han Aroukh (Ora’h ‘Haïm 225, 1) établit : « Lorsqu’on revoit un ami après une séparation de trente jours, on
prononce la bénédiction : “Chéhé’héyanou…” Après douze mois de séparation, on prononce la bénédiction : “Mé’hayé Hamétim – [Qui ressuscite les morts].” » Le Michna Beroura rapporte au nom du Maharcha la raison de cette dernière loi : chaque année, entre Roch Hachana et Yom Kippour, le Tribunal céleste décide du sort de chaque individu, lui attribuant une année supplémentaire de vie ou, à D.ieu ne plaise, le condamnant à mourir pendant les mois suivants. Par conséquent, lorsqu’on revoit une
personne chère après douze mois d’absence, celle-ci a entre-temps dû faire face à une sentence de mort. Il convient donc à juste titre de rendre alors grâce à D.ieu qui « ressuscite les morts ». Cependant, cette conclusion peut sembler a priori hâtive : à Roch Hachana, chacun est simplement exposé à un risque de condamnation à mort, mais il ne revient pas pour autant à la vie  d’entre les morts ! Manifestement, l’explication réside dans le principe même du jour de Roch Hachana. Dans les prières de cette fête, nous déclarons à D.ieu : « Ce jour est le commencement de Ton oeuvre. » Comme on le remarque, cette phrase n’est pas formulée au passé, mais au présent : chaque année, à Roch Hachana, D.ieu reproduit l’oeuvre de la Création exactement comme Il l’a fait lors des six premiers jours de l’existence. En effet, à chaque Roch Hachana, le Tribunal céleste décide d’accorder une subsistance à chaque individu uniquement pour l’année à venir. Si bien que lorsque le Roch Hachana suivant arrive, les droits accordés pour l’année écoulée cessent et toute vie est alors comme suspendue. La décision prise en ce jour ne consiste donc pas seulement à laisser vivre et perdurer les êtres existant déjà, mais à leur redonner vie et à les recréer pour une nouvelle année. Aussi, à l’issue de Roch Hachana, chaque individu peut se considérer comme étant véritablement revenu à la vie, parce que son droit d’exister avait concrètement cessé à l’issue de l’année précédente. C’est la raison pour laquelle, en revoyant un être cher après une année entière, il convient de réciter cette bénédiction : « Béni sois-Tu Eternel… Qui ressuscite les morts» – car telle est réellement la teneur du verdict de Roch Hachana. Une création nouvelle Il résulte de cette conclusion qu’à Roch Hachana, chaque individu est comme recréé : sa vie de l’année passée ne poursuit pas simplement son cours, mais elle est concrètement renouvelée, comme si chacun méritait de renaître
en ce jour. Dès lors, quand nos Sages affirment que prier pour modifier une chose déjà établie constitue une « prière vaine », ils ne font référence qu’aux suppliques prononcées pendant le reste de l’année.
Mais à Roch Hachana, cette règle ne s’applique pas, pour la simple raison que l’on est alors comme de nouveau créé, comme si nous avions droit à une nouvelle naissance. C’est la raison pour laquelle Sarah, Ra’hel et ‘Hana ont toutes trois été exaucées précisément à Roch Hachana. En effet, pendant ce jour, on ne prie pas pour « changer » ce qui a déjà été établi. Au contraire, tout revient alors à la vie comme au premier jour ! La prière de ces femmes pour pouvoir porter un enfant était donc parfaitement opportune, étant donné qu’elles ont demandé à D.ieu non pas d’annuler leur statut d’aylonit, mais de les faire « renaître » avec une nature plus favorable.

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