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19 Adar II 5784‎ | 29 mars 2024

Pour que la joie de Sim’hat Torah ne nous quitte pas…

Le mois de Tichri est déjà derrière nous, y compris ses moments d’introspection et son apogée de joie atteint lors des réjouissances de Sim’hat Torah. Mais… allons-nous laisser s’évaporer ces moments d’élévation spirituelle et d’expansion de    joie ? Allons-nous opter pour un train-train quotidien qui frôlerait l’amertume, comme nous l’insinuerait le préfixe « Mar » de ce mois de Mar’hechvan à peine
entamé, qui nous offre aucun rendez-vous joyeux ?

Parallèlement, nos chers enfants ont sérieusement repris le rythme scolaire qui, leur demandera désormais de fournir un travail régulier et assidu car les vacances sont finies « pour de bon ». Mais, au juste, dans quelle discipline allons-nous les stimuler à s’investir au maximum ? Quelle est notre priorité pour cette année : qu’ils deviennent les premiers en mathématiques ? Qu’ils soient de parfaits bilingues ou trilingues ? Qu’ils maîtrisent à la perfection leur manuel d’Histoire ? N’aurions-nous pas, parfois, tendance à mettre de côté le Kodech qui somme toute, ne donne accès à aucun diplôme dans notre système éducatif ? Et… combien mêmes serions-nous conscients de son importance… la surcharge de travail dans les autres disciplines nous permettrait- elle de nous y consacrer davantage? Eh bien, à l’heure où nous recommençons le cycle des Parachiyot, ce serait justement le moment opportun pour aborder le Limoud Torah sous un autre angle et d’inculquer à nos enfants les valeurs qui priment. Le Kodech n’est pas une discipline supplémentaire ou facultative qui représentera « un plus » sur leur futur C.V… alors de quoi s’agit-il exactement ? Loin d’être une matière comme une autre qui constituerait un passeport d’entrée pour intégrer une grande école ou un bagage pour acquérir un futur métier, l’étude du
Kodech est un but en soi, elle nous permet de devenir les bons Juifs que nous aspirons à être. Elle nous construit, façonne notre esprit et notre coeur pour acquérir la Crainte d’Hachem et observer rigoureusement les Mitsvot. Par conséquent, elle ne devrait pas être abordée de façon purement intellectuelle mais son étude doit être une expérience enrichissante, vécue avec joie, chaleur et enthousiasme afin d’atteindre le coeur de l’enfant pour qu’il y trouve goût et s’y attache. Si enseignants et parents en prennent conscience et s’investissent pour
valoriser l’étude de Kodech et la transmettre avec ferveur et ardeur, les enfants
aussi l’apprécieront à sa juste valeur. Pour saisir son importance, revenons à
Sim’hat Torah où petits et grands ont placé les Siffré-Torah au centre des rondes
pour proclamer d’un coeur sincère et chanter d’une voix forte « Ki Hèm ‘Hayénou… » (La Torah, c’est notre vie…) ou « Achrénou, ma tov ‘helkénou » (« Heureux sommes-nous, oh combien notre sort est bon… »). Puis… à peine avons-nous clôturé la lecture de Vézot Haberakha que nous avons entamé la première section de Béréchit où ce premier mot de la Torah nous révèle clairement, grâce à l’explication de Rachi, la raison même de la création du monde : Hachem a créé l’Univers tout entier pour que Son peuple Israël s’attacheà Sa Torah. C’est pour cette Torah que le monde a été créé et c’est par le mérite du Limoud Hatorah que le monde tient !! Ce sont des axiomes connus de tous mais comment les traduisons- nous dans notre quotidien noyé dans la matérialité et inondé par les valeurs du monde environnant ? Référons-nous à une histoire vécue, pour nous aider à «porter des lunettes» qui nous feront voir clair. En 5741 (1981), avant d’entreprendre une opération militaire sérieuse, une délégation de l’armée
israélienne s’est rendue chez Baba Salé pour lui demander de les bénir afin qu’ils
réussissent cette intervention périlleuse. Après avoir brièvement présenté leur plan d’action au Tsadik, celui-ci marqua une légère pause et les surprit en leur posant la question suivante : « A quelle heure prévoyez-vous de lancer cette opération ? » Et les responsables de répondre : « A 14H ! » Le Rav répliqua aussitôt : « Non, non… ce n’est pas une bonne heure, c’est
le début de la pause des ba’hourim et des Avrékhim. Les salles d’étude sont loin
d’être pleines… Commencez plutôt à 16H, à l’heure où les nombreux étudiants en Torah ont retrouvé leur Guémara. C’est par le Limoud Hatorah que nous serons protégés de nos ennemis. Il n’y a pas de plus grande force que celle de la Torah… « Talmoud Torah Kénegged Koulam ». Pour le Tsadik, le fait que la Torah protège l’ensemble du Klal Israël n’était pas une belle théorie mais un principe de vie qui ne le quittait pas !Alors, inspirons-nous de ce bel exemple pour hisser l’étude de la Torah au plus haut rang de nos valeurs sans omettre de l’accompagner de toute cette joie ressentie au moment des danses de Sim’hat Torah! C’est elle qui nous protège… elle est notre source de vie et constitue le but ultime de la création du monde. Inculquons à nos enfants ces repères clairs qui les guideront bien plus que toute autre discipline scolaire !
Yokheved Levy

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