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19 Adar II 5784‎ | 29 mars 2024

PAPA À 500 ANS : QUI DIT MIEUX ?!

Bâton de vieillesse Ramjeet Raghav, un ouvrier agricole indien de 96 printemps, est à deux doigts de finir ses jours dans l’anonymat le plus complet dans lequel il les a vécus. Sauf qu’un beau matin, ses proches ont la surprise de découvrir son visage basané s’étalant tout sourire à la une du prestigieux Times of India. Le motif de sa soudaine célébrité ? Entre vous et moi, il tient surtout au nouveau né
dont le mignon petit minois figure, lui aussi, en première page dudit quotidien.
Et qui, à l’exception des rides, présente une ressemblance frappante avec le quasi-centenaire qui le couve tendrement du regard, Raghav serait-il devenu le premier Indien à serrer dans ses bras son arrière arrière- petit-enfant ? Ou qui sait peut être, vu le légendaire taux de natalité du Sous-Continent, son arrière-arrière arrière- petit-enfant ? Nahin ! L’adorable petit Ranjeet (avec un « n » cette fois) n’est nul autre que son propre rejeton. Un fiston qui lui assure de surcroît une place de choix dans le Guinness des records avec le titre très prisé de plus vieux papa du monde entier. Si ça ne s’appelle pas avoir un bâton de vieillesse !
Paternité (très) tardive Mais laissons donc à Ramjeet Raghav tout le loisir de découvrir les joies de la paternité, des langes à changer, des biberons à réchauffer et des prémolaires qui percent, à l’âge où ses amis d’enfance tuent leur temps autour d’un plateau d’Aadu puli atam (jeu stratégique populaire en Inde). Quand ils ne le perdent pas à chercher leurs dentiers égarés. C’est que la Paracha «couvre» un scoop bien plus inédit que celui qui a secoué la démographie indienne en 2012. Une affaire qui va donner une toute nouvelle dimension au phénomène très en vogue de la paternité tardive. Voyez-vous, chères lectrices, il est ici question d’un personnage qui a dû patienter pas moins de 500 ans avant de
devenir papa pour la toute première fois de sa vie ! D’un « homme juste et intègre» qui, un demi-millénaire durant, a dû subir les affres de l’infertilité
alors que tout autour de lui, les pires des mécréants proliféraient impunément ! D’un être d’exception qui a dû mener la majeure partie de sa vie dans l’indicible
angoisse de mourir sans laisser de descendance derrière lui.
Cet homme s’appelle Noa’h. Et c’est à lui – et personne d’autre – que revient à juste titre le record de plus vieux papa du monde !
Vous avez dit injuste ?! Ceci dit, c’est là un record dont le détenteur se serait volontiers passé. Comme ne manque pas de le relever le Midrach, les prédécesseurs de Noa’h ont tous engendré entre l’âge de cent et deux cent ans. Le rescapé du déluge est le premier personnage de l’histoire (et si je ne m’abuse sans doute aussi le dernier…) à avoir donné la vie à cinq cent ans seulement !
Et lorsqu’on prend conscience de ce détail historique, on est presque tentées de    « crier à l’injustice ». Pourquoi le Saint béni soit-Il aurait-il infligé au seul
et unique juste de cette génération une épreuve aussi douloureuse ? Et si, en définitive, Il comptait lui accorder une descendance, à quoi bon l’avoir privé de
ce bonheur pendant une telle éternité ? Une preuve d’amour Mais Rabbi Youdan va s’empresser de nous faire ravaler nos présomptions déplacées.
Il nous révèle que ce que nous percevons comme une punition constitue en réalité une preuve exceptionnelle d’amour et de sollicitude de la part de Dieu.
En effet, sachant que le déluge allait bientôt s’abattre sur la terre, le Saint béni soit-Il avait fait le raisonnement suivant : « Si les enfants de Noa’h sont des mécréants, ils devront périr par les eaux du déluge, ce qui causera une peine
terrible à leur père. Et si ses enfants s’avèrent être des justes, d’ici le déluge,
ils auront eux-mêmes engendré de nombreux descendants, ce qui obligera Noa’h à construire de nombreuses arches pour les sauver. »
C’est la raison pour laquelle Il avait jugé bon de rendre Noa’h stérile jusqu’à l’âge
de cinq cent ans, de sorte que Yéfeth, l’aîné de ses fils, n’était pas encore responsable de ses actes avant le déluge (Béréchit Rabba 26, 2) Des bénédictions déguisées en malédictions Pour le Rav Issakhar Frand, ce passage du Midrach est à inscrire en lettres d’or dans le livre de notre vie. Il nous rappelle en effet que les déceptions et difficultés auxquelles nous nous heurtons au cours de notre existence sont bel et bien l’oeuvre d’un Dieu Bon et Bienveillant qui cherche inlassablement à  nous couvrir de Ses bénédictions.
Bien sûr, au moment où nous les vivons, ces expériences nous sont douloureuses. Elles nous paraissent parfois même relever d’une terrible injustice. Mais le
temps finit par passer. Et puis, un beau jour, on regarde en arrière et on s’aperçoit parfois que cette fameuse « malchance » s’est avérée être le prélude d’un
événement favorable, le vecteur d’un changement véritablement positif dans
notre vie. Par exemple, ce licenciement inattendu qui avait pourtant failli nous plonger dans une sérieuse « déprime » nous a, en définitive, permis de décrocher un emploi plus flexible et mieux rémunéré. Cette déception « chidoukh-amoureuse » qui avait pourtant menacé de nous briser le coeur nous a invitée à revoir nos priorités et, au bout du compte, à rencontrer l’homme qui a su nous rendre véritablement heureuse. Cette institutrice qui semblait s’acharner sur notre petit prince, nous alertant sans arrêt sur ses lacunes scolaires de sa mine la plus scandalisée, nous a finalement permis de mettre le doigt sur le trouble d’apprentissage dont il souffrait en silence. Et puis surtout, de découvrir la bonne
méthode pour l’aider à la surmonter. Patience, patience… Évidemment, la vie ne suit pas forcément le scénario merveilleusement tracé d’un conte Walt Disney. Ce qui fait que les « happy ending », s’ils existent immanquablement, ne sont pas toujours visibles à l’oeil nu. Il faut de la patience, ô combien de patience, pour déceler la trame positive et bienveillante qui sous-tend le tracé complexe de notre
quotidien. Et quand même la patience ne suffit pas pour comprendre le bienfondé
des événements que nous vivons, c’est la Foi, une foi inébranlable en la
Bonté Divine, qui va nous permettre de traverser ces turbulences en toute tranquillité. La lettre médiane Et pour conclure les lignes de ce tout nouveau cycle de Parachiot que nous venons d’entamer, nous ne résisterons
pas à la tentation de rapporter un magnifique enseignement du Bné Issakhar
cité par la rabbanite Yémima Mizra’hi (in Ami Living n°386) : Nous connaissons toutes la première lettre de la Torah ; c’est le Beth du mot Béréchit. Nous connaissons presque toutes la dernière lettre de la Torah ; le Lamed qui conclue en beauté le mot Israël de la Parachat Vézoth Habérakha. En revanche, laquelle d’entre peut se targuer de connaître la lettre qui se situe exactement au milieu des Cinq Livres de la Torah ? Mais que nos lectrices suffisamment éreintées par les préparatifs des Fêtes de Tichri ne s’escriment pas à faire le calcul. C’est que les premiers Sages, appelés soferim (ceux qui comptent les mots et les lettres de la Torah) s’en sont chargés bien avant nous. Et ils en sont arrivés à la conclusion suivante : il s’agit de la lettre Vav de l’expression holekh al ga’hon (Vayikra 11, 42), renvoyant au serpent dont la consommation est interdite par la Torah. (À l’adresse de celles qui ne pourront pas se retenir de compter les 152 403 premières lettres de la Torah sur les 304 805 qu’elle en comporte au total : chapeau ! Votre persévérance sera récompensée par la découverte d’un Vav agrandi par rapport au reste du texte. Un petit clin d’oeil typographique destiné à marquer le milieu de la Torah pour le nombre de lettres (Kiddouchin 30a) ! Retrouver goût (et sens…) à la vie Mais revenons à nos moutons, ou en l’occurrence à nos serpents. Quand
on vous dit serpent, à quel spécimen pensez-vous ? Laissez-moi deviner ; à
l’infâme bipède ayant incité ‘Hava à la faute. Et qui, pour la peine, fut réduit
à l’abject rang de reptile, une créature qui ne ressent aucun taam (goût) dans tout ce qu’elle mange. Or cette triste caractéristique, nous dit l’auteur du Bné Issakhar, n’est malheureusement pas l’apanage du serpent. À l’instar de
ce dernier, nous autres, êtres humains, sommes parfois incapables de déceler le
taam (raison) de certains événements que nous vivons. C’est là que ce fameux Vav, lettre médiane de toute la Torah, vole à notre rescousse… Il nous rappelle que nous nous trouvons en réalité au beau milieu d’un plan magistral orchestré par le Tout-Puissant. Et que si nous avons la sagesse et l’humilité de nous laisser guider par Lui, nous finirons toujours par retrouver du taam, du sens – et du goût
– à notre vie. Rappelez-vous… Noa’h a bien attendu 500 ans avant de devenir Papa pour la première fois ! Qui sait quels heureux événements peuvent-ils bien nous attendre au tournant ?! Pour peu que nous ayons la foi… Pour que nous ayons la patience…

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