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2 Kislev 5785‎ | 3 décembre 2024

Les fausses équivalences morales fabriquées pour délégitimer Israël

A l’heure où une nouvelle fois, l’Autorité palestinienne – publiquement soutenue par les députés arabes israéliens – lance ces jours-ci à l’Assemblée Générale annuelle de l’ONU son énième offensive visant à faire condamner l’Etat hébreu, il est utile de revenir sur certains mécanismes bien rôdés de la délégalisation et de la délégitimation d’Israël : un décryptage salutaire en ces temps d’Israël bashing…

A partir de la matrice de la double inversion culpabilisant les Juifs pour exonérer l’Occident de tous
ses crimes grâce à une compassion inconditionnelle – toute chrétienne – envers les                                        « pauvres Palestiniens », l’Israël bashing et la démonisation des Israéliens reposent sur une dizaine de   « fausses équivalences morales », dont le regretté historien de l’antisémitisme, Robert Wistrich, et le
géo-stratège israélien, Manfred Gesternfeld, ont établi la liste ici résumée.
1) Israël serait un « Etat fasciste et raciste », ce qui n’est pas sans rappeler la fameuse Résolution 3379 de l’Assemblée générale de l’ONU datant de novembre 1975 assimilant le sionisme à « une certaine forme de racisme » rejetée par Israël et qui fut ensuite abrogée par les Nations- Unies en décembre 1991.
2) Israël serait un « Etat d’apartheid » – une accusation d’autant mieux répandue par les députés arabes israéliens et la propagande palestinienne sur les campus américains et européens que l’ex-président
Jimmy Carter a publié en 2006 un livre intitulé « Palestine yes, Apartheid no ! ». Un mensonge démenti par tous ceux qui connaissent les réalités de la cohabitation israélienne entre Juifs et Arabes dans les hôpitaux, les universités, les jardins publics et les centres commerciaux !
3) La conduite d’Israël face aux Palestiniens serait « équivalente » à celle des nazis face aux Juifs pendant la 2e Guerre mondiale. Résultats : les derniers grands sondages d’opinion effectués sur le Vieux-Continent attestent que plus de 40 % des Européens pensent qu’Israël est un « Etat nazi », 43 % des Allemands et 45 % des Norvégiens estimant qu’Israël « massacre » les Palestiniens…
4) Israël serait un « pouvoir colonial et oppressant » comme les USA au Vietnam ou la France le fut en Algérie… Or comment qualifier de « colons » les habitants juifs de la partie-Est de Jérusalem et de
Judée-Samarie quand le sous-sol de ces territoires disputés regorge d’abondantes traces du passé biblique des Hébreux ! Les (vrais) colons français en Algérie (eux trouvaient-ils, en creusant la terre aride des Aurès ou de la Mitidja, des traces du lointain passé gaulois ou franc en Afrique du Nord ?
5) La comparaison de la Shoa à la Nakba (en arabe : la « catastrophe ») que représente pour les Palestiniens la date du 14 mai 1948, jour de la renaissance d’Israël. Si le retour historique des Juifs sur leur terre ancestrale est ainsi commémoré chaque année comme un jour de « catastrophe», y compris par une partie des Arabes israéliens, qu’attendre, avec cette mentalité haineuse et extrémiste génératrice
de tous les rejets, d’un processus de paix censé promouvoir la « solution à deux Etats » où Israël et la Palestine vivraient côte à côte en harmonie ?
6) Tsahal et les forces de sécurité d’Israël tireraient volontairement et « avec cruauté » sur les civils, alors que c’est le contraire qui est vrai puisque toutes les études sérieuses sur la question ont montré
quelles précautions sans précédent (par rapport aux autres armées occidentales déployées en Afrique ou au Moyen- Orient) prend Tsahal pour préserver la vie des civils ennemis non-combattants lors
des conflits asymétriques dans les zones palestiniennes surpeuplées contre les terroristes du Hamas. Lesquels n’hésitent jamais à mettre en danger leur propre population en s’en servant de « boucliers
humains ». Ce que Binyamin Nétanyaou avait résumé en déclarant en pleine Opération Bordure protectrice de l’été 2014 à Gaza : « Le Hamas se sert des civils palestiniens pour protéger ses armes, alors qu’Israël se sert de ses armes pour protéger ses civils ».
7) Les informations biaisées de propagande et autres « rapports » fournis aux organisations internationales par des ONG locales et internationales pro-palestiniennes. On l’a bien vu en 2015 avec
le fameux Rapport Goldstone cousu de fil blanc et rédigé par ce juge à la tête de la commission d’enquête du Comité des droits de l’homme de l’ONU. Un document mensonger qui provoqua la condamnation radicale d’Israël par cette instance, où siègent des pays comme la Syrie, l’Iran, la Libye et l’Arabie Saoudite. Or deux ans plus tard, le juge Goldstone devait lui-même se rétracter en déclarant avoir          été « induit en erreur par des éléments manipulant et déformant les réalités de terrain ».
8) La mise sur le même plan de la guerre d’Algérie avec la lutte pour la « la cause palestinienne»               – une équivalence non-fondée mais souvent avancée par la presse française et ses deux fleurons anti-Israéliens, le quotidien Le Monde et le mensuel Le Monde diplomatique, qui ont épousé les positions
arabo-palest iniennes. Or quel rapport peut-il exister entre le processus ontologique de retour des Juifs sur leur Terre originelle et la colonisation forcée – avec « le sabre et le goupillon » – d’un vaste pays arabo-musulman d’Afrique par l’armée de la France coloniale !?
9) Le but des « sionistes » serait de conserver le « Grand Israël » s’étendant depuis juin 1967 du Jourdain à la Méditerranée. En fait, l’histoire des 16 guerres modernes menées par Israël depuis 1948
montre bien que les dirigeants et stratèges israéliens n’ont jamais planifié de conquête ni voulu « élargir leurs frontières », mais n’ont fait chaque fois que repousser des forces arabo-palestiniennes voulant anéantir l’Etat hébreu et sa population juive : c’est le sort des armes qui a à chaque fois octroyé l’avantage à Israël. Et comment parler d’un « Grand Israël » quand la distance séparant le fleuve Jourdain (actuelle frontière orientale du pays) des rivages de la Méditerranée atteint à peine 70 km, même pas la largeur d’un petit département français !?
10) Israël serait, dans le jargon du palestinisme, un « Etat impérialiste », sionisme rimant avec « expansionnisme » ! Une comparaison qu’avait en son temps réfutée le Pr. André Néher en démontrant qu’à l’inverse des deux autres monothéismes chrétien et musulman (mus, dès le début de leur histoire, par des forces centrifuges de conquête et de prosélytisme depuis leurs centres respectifs Rome et La Mecque), le monothéisme juif procédait d’un mouvement inverse : chassé de son centre historique (Jérusalem) par la conquête romaine et la destruction de son 2e Temple, le peuple hébreu expulsé aux quatre coins de la Terre n’a eu qu’une seule aspiration pendant 20 siècles – animé par une force centripète – à savoir revenir « l’an prochain à Jérusalem ». Les Juifs l’ont sans cesse répété sous toutes les latitudes pendant des siècles aux soirs de la fête de Pessa’h, quoi qu’en dise l’Unesco. Et c’est ce qu’ils ont commencé à réaliser au début du 16e siècle après l’expulsion des Juifs d’Espagne, puis bien plus massivement dès le début du 20e siècle avec le sionisme moderne de Théodore Herzl dont l’Israël d’aujourd’hui est l‘héritier direct.
RICHARD DARMON

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