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16 Nisan 5784‎ | 24 avril 2024

Quand les mots remplacent les gestes

Dans la paracha de cette semaine, nous étudions les lois des korbanot (les sacrifices), qui étaient offerts et apportés au Tabernacle et par la suite à Jérusalem, au Temple. Nous apprenons des versets que le service des différents korbanot et des offrandes était réservé aux Cohanim – les prêtres, qui se chargeaient d’égorger l’animal, d’en asperger le sang sur l’Autel et d’en brûler les graisses, puis de manger certaines parties de la bête, à l’exception des holocaustes qui étaient brûlés entièrement.Aujourd’hui, nous n’avons plus le Temple, mais la prière peut remplacer les sacrifices comme il est rapporté dans le Talmud (Taanit 27/b). Lorsque l’Eternel promit de donner la terre d’Israël à Avraham, ce dernier Lui demanda : « Hachem ! Comment saurai-je que j’en suis possesseur ? » (Beréchit XV, 8-10). D.ieu lui répondit : « Prépare-moi une génisse âgée de trois ans, une chèvre de trois ans, un bélier de trois ans, une tourterelle et une jeune colombe. Abram prit tous ces animaux, divisa chacun par le milieu… ». C’est la célèbre alliance « d’entre les morceaux ». La Guémara explique que la demande d’Avraham était la suivante : « Maître de l’univers ! Qu’arrivera-t-il si Israël pèche contre Toi ? Leur ferais-Tu ce que Tu as fait à la génération du déluge et à la génération de la tour de Babel ? ». D.ieu ayant répondu négativement, c’est alors qu’Avraham posa sa question : « Comment [le] saurai-je ?… »La demande de D.ieu qui suivit fait allusion aux sacrifices, lesquels pardonneront les fautes commises par les enfants d’Israël. Avraham s’en inquiéta, car cette possibilité n’est offerte que tant que le Temple est présent. Mais une fois le Temple détruit, qu’adviendrait-il des enfants d’Israël ? C’est pourquoi D.ieu le rassure : « Je leur ai déjà instauré l’ordre des sacrifices, et lorsqu’ils le liront devant Moi, Je considérerai qu’ils ont offert devant Moi un sacrifice ! ».Le Ben-Ich-‘Haïs’étonne : que signifient donc ces termes : « lirons devant Moi » et « offert devant Moi » ? Il répond que les mots « devant Moi » expriment la nécessité de bien seconcentrer pendant sa lecture. L’homme doit réaliser qu’il se trouve devant D.ieu et penser à ce qu’il dit, et c’est alors que la lecture des passages des sacrifices sera considérée comme un sacrifice offert devant D.ieu. Dans le cas contraire, le « sacrifice » ressemblerait à un « Ch’houté ‘houts » – une offrande présentée en dehors du Temple, et donc invalide.Grande est la force de la prière, alors que seul un Cohen peut servir de prêtre et présenter l’offrande pour qu’elle soit agréée, un Israël, par la simple lecture, aura ainsi offert son sacrifice. C’est ce que D.ieu dit par allusion à Avraham en mentionnant la génisse de trois ans (littéralement appelée « triple génisse » dans la Torah).Rav ‘Hisda (Guémara Chabbat 88/a) disait : « Béni soit l’Eternel qui a donné une triple Torah, à un triple peuple, un triple jour ». Rachi explique qu’une « triple Torah » est une référence au TaNaKh–Torah Néviim Kétouvim, (Pentateuque, Prophètes et Hagiographes). Le « triple peuple », c’est le peuple d’Israël, composé des Cohanim, Lévyim et Israël. Un « triple jour », c’est le jour du don de la Torah, comme il est dit : « Or, au troisième jour (…) il y eut des tonnerres et des éclairs » (Chémot XIX, 16).La« triple génisse, la triple chèvre, le triple bélier », explique le Ben-Ich-‘Haï, font allusion au triple peuple : Cohen, Lévi et Israël, pour nous enseigner que même un simple Israël peut par cette lecture offrir un korban.De même, le verset évoque « l’holocauste perpétuel déjà offert sur le mont Sinaï » (Bamidbar XXVIII, 6). Déjà offert ?! Un tel sacrifice n’est pourtant pas mentionné dans le contexte du mont Sinaï ! De quel holocauste perpétuel s’agit-il ? C’est ici encore une allusion : l’enseignement des lois du sacrifice ola– l’holocauste, fut, quant à lui, donné au mont Sinaï, et son étude fait que la Torah considère l’homme comme s’il avait sacrifié un korban ola au mont Sinaï.

 

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