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11 Nisan 5784‎ | 19 avril 2024

Les scandaleuses allusions du patron de la police

Israel Police Chief Roni Alsheikh gives a statement to the press at the Western Wall Compoun in Jerusalem's Old City, July 27, 2017. Photo by Hadas Parush/Flash90 *** Local Caption *** הר הבית משבר כותל מפכל רוני אלשייך

L’une des premières décisions prises par le commandant en chef de la police israélienne Rony Alcheikh peu après sa nomination en décembre 2015 à ce poste important, avait été de réduire au strict minimum les fuites d’informations de la police vers les médias. Soudain les officiers supérieurs de la police qui avaient pour certains la fâcheuse tendance d’informer abondamment les journalistes étaient devenus muets comme des carpes. La décision, avait à l’époque, provoqué la colère des médias qui reprochaient à Alcheikh de continuer à jouer dans sa nouvelle fonction selon les règles du jeu très discrètes du Shin Beth dont il était jusqu’alors le no2. Eh bien il s’avère que un peu plus de deux ans plus tard, c’est Alcheikh lui-même qui se retrouve au cœur d’une très vive polémique, la police ne jouait pas selon les mêmes règles que les services de renseignements intérieurs. Un peu plus de deux ans plus tard, c’est le même Rony Alcheikh qui se retrouve au cœur d’une véritable polémique pour avoir porté lors d’une interview dans une grande émission télévisée, des accusations choquantes. En effet Rony Alcheikh a sous entendu assez clairement dans cet entretien à la journaliste Ilana Dayan, qu’il soupçonnait des personnalités très haut placées (en l’occurrence le Premier ministre Nétanyaou ou son entourage), d’avoir mandaté des détectives privés afin qu’ils fouillent dans la vie privée des inspecteurs chargés enquêter sur les dossiers 1000 et 2000. L’objectif de ces personnalités très haut placées étant au bout du compte de dissuader les enquêteurs de poursuivre leur travail de recherche de crainte de voir leur vie privée entravée. Cette accusation a provoqué la colère de Mr Nétanyaou qui s’est insurgé « contre les insinuations mensongères et grossières du patron de la police » et a appelé à la formation d’une commission d’enquête afin de déterminer qui dit vrai dans cette affaire. Il faut bien avouer, et même des commentateurs connus pour ne pas être pro-Nétanyaou l’ont admis, que Rony Alcheikh a commis une double erreur en faisant de telles insinuations. La première a été d’avoir accepté la diffusion de cet entretien télévisé préenregistré avec Ilana Dayan le soir même où Alcheikh lui-même débattait avec les officiers chargés des enquêtes contre Nétanyaou des recommandations que la police s’apprêtait à faire (voir encadré). Comment ne pas penser qu’en agissant de la sorte il prenait partie en faveur d’une inculpation sans appel contre le Premier ministre ? La seconde erreur a été de ne pas être allé jusqu’au bout. Si Mr Alcheikh estime que le Premier ministre dépêche des détectives privés pour ensuite faire pression sur ses enquêteurs, pourquoi n’a-t-il pas ordonné l’ouverture d’une enquête ? Il n’est pas normal que le patron de la police laisse peser ainsi des accusations gravissimes contre le Premier ministre sans apporter des preuves tangibles. Soit Alcheikh dit vrai et Mr Nétanyaou ne pourra pas rester en fonction, soit il ment et c’est lui qui doit immédiatement démissionner. Les insinuations d’Alcheikh sont d’autant plus graves qu’elles sous-entendent que Rony Ritman le patron du département des investigations de la police 433 aurait été lui-même la victime des détectives privés mandatés soi-disant par le Premier ministre et c’est ainsi qu’il aurait été soupçonné de harcèlement. Or un rapide coup d’œil au calendrier permet d’établir que les soupçons qui pèsent sur Ritman et qui l’ont conduit à démissionner il y a un peu plus d’un mois, ont été émis pour la première fois bien avant le début de l’enquête contre Mr Nétanyaou. Selon certaines sources Alcheikh aurait décidé de durcir le ton envers le Premier ministre après avoir compris que ce dernier n’avait plus la moindre intention de le nommer à la tête du Shin Beth à la fin du mandat de l’actuel patron Nadav Argaman.

Daniel Haïk

 

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