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18 Adar II 5784‎ | 28 mars 2024

Visite d’un Gadol, Rav Chimon Galay à Paris

C’est un événement ! Le Tsadik Rav Chimon Galay vient à Paris pour seulement 35 heures et pourtant, les préparatifs pour sa venue battent leur plein, on s’agite et tout celui qui connaît déjà le Tsadik s’assure de pouvoir le rencontrer lors de son passage éclair. En Israël, il est une adresse pour toute personne ayant besoin d’une Yéchoua ou d’un conseil dans tous les domaines : éducation, mariage, Parnassa et même santé !

Mais ce qui fait affluer le public vers lui, c’est son amour du prochain. Derrière une simplicité et une humilité incroyables, se cache un génie en Torah, en Halakha mais aussi en connaissance profonde de l’homme et du pourquoi de ses actions. Il ressent la peine mais aussi la joie des autres, c’est la raison pour laquelle ses prières sont si célèbres pour leur intensité et leur force !

Malgré ses efforts à rester dans l’ombre, on fait appel à lui de toutes parts, car on a besoin de ses Téfilot, on a besoin de ses Brakhot, on a besoin de ses conseils, et son amour profond pour les autres le pousse à accepter de voyager, de soulager la peine, d’apaiser, d’encourager et de redonner de l’espoir.

C’est une grande joie et un grand honneur pour la communauté juive que de l’accueillir prochainement.

Portrait d’un Tsadik pas tout à fait comme les autres.

 

A la lumière du ‘Hafets ‘Haïm

Dans les années 1920, où aller à la yéchiva signifiait être prêt à se nourrir en s’invitant quotidiennement chez des membres de la communauté, la mère du jeune Chalom Galay l’emmène à Radin, à la Yéchiva de ‘Hafets ‘Haïm. En pleurant, elle se confie au Tsadik : « Mon fils est si réservé et discret, qu’il risque de mourir de faim, il ne demandera à personne de l’inviter, il restera étudier dans le Beth Hamidrach ». Le ‘Hafets Haïm la rassure : « Il a fait un si long chemin rien que pour étudier la Torah, il sera mon invité et mangera à ma table. » Plus qu’il n’a mangé, il a bu les paroles du Tsadik et s’est imprégné de sa sainteté. Rescapé de la Shoah, il s’est entièrement consacré à la Torah.

Son fils, Rabbi Chimon Galay est né en 1948, et a tout de suite baigné dans l’étude de la Torah. Alors que les enfants de son âge jouaient au ballon, il s’isolait déjà avec son livre pour étudier.

 

 

Un érudit en Torah, depuis son jeune âge

Adolescent, il part étudier à la yéchiva de Pétah Tikva et ne vit que pour l’étude. Heure après heure, il reste assis devant ses feuilles de guémara, et son esprit s’imprègne des paroles des grands commentateurs talmudiques. On le compare aux plus grands, et son abnégation est reconnue par tous.

Mais les nombreuses heures passées penché sur sa table d’étude, ont eu raison de son corps. Très jeune, il commence à souffrir de douleurs, et sa colonne vertébrale se déforme. Elle fait pression sur son appareil digestif. Il ne parvient plus à se nourrir normalement. Sa mère lui prépare des légumes cuits faciles à digérer, qui deviennent sa seule nourriture.

 

Après son mariage, il s’installe à Bné Brak et continue à étudier à la yéchiva « Beth Méïr ». Jeune étudiant, sa réputation est déjà connue entre les autres élèves, et la yéchiva fait souvent appel à lui pour donner des cours. A chaque moment libre, il sort sa petite guémara de sa poche et se plonge dedans. A la tête d’une famille nombreuse, il ne rechigne pourtant jamais aux tâches ménagères, il parvient toujours à combiner la maison et son étude. Ses voisins évoquent une image de lui, un livre dans une main, alors que de l’autre, il berce un bébé dans une poussette.

 

Pendant ses études, il se forme à l’enseignement. Il se découvre rapidement une connaissance parfaite dans toutes les matières de la Halakha. Nombreux sont ceux qui se tournent vers lui pour des questions de Halakha. Sa simplicité et sa gentillesse s’offrent à tous, et grâce à une écoute toujours attentive et son grand cœur, il parvient à soulager tous ceux qui s’adressent à lui. Il devient Dayan au Beth Din de Rav Nissim Karlitz, l’un des plus grands maîtres de Torah de sa génération. Ce dernier apprécie grandement Rabbi Chimon, et ne manque jamais de faire l’éloge du jeune enseignant.

 

Durant des années, Rabbi Chimon officiera en tant que Rav de la synagogue du quartier Hé de Bné Brak et depuis trois ans, il est également le rav de la communauté construite sur l’ancienne usine Ossem. Il partage son temps entre les trois quartiers de la ville. Lorsqu’il parcourt les rues des environs, il est constamment assailli par des gens qui lui demandent sa bénédiction ou un conseil, et il ne refuse jamais.

 

Rabbi Chimon ne prône pas une Halakha dure : s’il est intransigeant en ce qui le concerne, il n’impose pas aux autres des règles difficiles, il essaie avant tout de rassurer et d’encourager celui qui vient lui poser une question. Il souffre de l’effondrement spirituel qui touche parfois la communauté.

Mais lorsqu’il ressent que quelqu’un est en grande difficulté, il fait tout pour résoudre son problème, sans jamais se contenter de juste lui asséner la Halakha.

 

La force de sa Téfila et de ses bénédictions

 

Un mystère enveloppe toujours l’histoire exemplaire de Rabbi Chimon, reconnu pour la force de sa prière. Rabbi Chimon a commencé sa route auprès de la famille du Gaon Hatsadik Rabbi Réouven Yossef Gershonovitch, zatsal. Ce dernier était le directeur de la yéchiva « Hanéguev » à Nétivot. Mais sa réputation dépassait largement les frontières de la yéchiva, et l’on venait de partout pour recevoir sa bénédiction. Il était apprécié pour sa gentillesse et pour sa façon de prendre soin de chaque individu. Sentant que la fin de sa vie approchait, il a fait appeler Rabbi Chimon pour lui demander de le remplacer à la tête de la communauté de Nétivot. Après de multiples hésitations, il a refusé cette proposition. Il ne voulait pas renoncer à ses élèves de Bné Brak, qu’il aimait comme ses propres enfants. Après une longue conversation restée secrète entre les deux hommes, Rabbi Chimon allait, durant plusieurs années, faire le trajet jusqu’à deux fois par semaine dans la communauté de Nétivot, pour rencontrer Rabbi Réouven Yossef, grand spécialiste de la Kabbale et reconnu pour ses dons à guérir et à se faire entendre de D.ieu. Il lui aurait ainsi transmis son savoir jusqu’à son dernier souffle. Peu après sa mort, on s’aperçut que Rabbi Chimon avait hérité de la même force de prière qu’avait connue Rabbi Réouven Yossef, et la nouvelle se répandit malgré sa volonté de discrétion.

 

Lorsque Rabbi Chimon est victime d’un grave accident de la route, il trouve la force, avant de perdre connaissance, de faire promettre au chauffeur qui l’a renversé de respecter Chabbat. Aujourd’hui, quinze ans après cet accident et malgré des douleurs récurrentes, il continue à recevoir toute personne qui demande à le voir, mais il ne renonce jamais à ses heures d’étude solitaires. Il continue à parcourir le monde, où il est attendu par ses nombreux disciples. Et à chacun de leurs voyages en Israël, ces derniers ne manquent jamais de lui rendre visite. Des hommes d’affaires viennent du monde entier prendre conseil auprès de lui avant de signer des transactions ; il parvient aussi à guérir certains maux que la médecine n’est pas parvenue à soigner.

 

Mais ce qui le met le plus en joie est d’assister au mariage de ses petits-enfants, où on l’entend chanter et participer comme un enfant. Il puise à chaque fois de nouvelles forces pour danser avec les mariés jusqu’au bout de la nuit. Et le lendemain, il retrouve avec la même ferveur jamais démentie, sa petite synagogue de Bné Brak où des centaines de disciples viennent le consulter chaque jour.

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