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19 Adar II 5784‎ | 29 mars 2024

La vie continue, grâce à Koupat Ka’ir

Le chèque de Koupat Ha’ir

Moché est assis sur sa chaise roulante. Ses mains tremblent, sa tête remue sans arrêt. Cela fait de longues années qu’il est atteint de la maladie de Parkinson. Son cerveau, par miracle, n’est pas atteint. Il est père de plusieurs enfants dont le plus jeune a sept ans. Moché est assis sur sa chaise roulante à la table du repas de midi. Sa fille ainée lui donne à manger, une cuillère après l’autre. Le tablier qui le couvre se salit ; Moché n’arrive pas à retenir la nourriture qui coule sur son menton. Son fils de douze ans entre, une enveloppe à la main. Il la tend à sa mère qui la lit rapidement. « Un avertissement de la compagnie d’électricité » dit-elle en soupirant, et se tourne pour que Moché ne voie pas son visage. Il souffre assez comme cela.

« Je ne peux pas nourrir ma famille » murmure-t-il, et ses mots expriment une peine terrible. « Maman ne tient plus le coup. Nous n’avons pas de quoi payer ce qu’il faut et moi, je suis immobilisé dans cette chaise… Je ne vaux rien… Peut-être qu’il vaut mieux que je meure, et c’est tout.

– Papa ! répond sa fille. Ne parle pas comme ça ! Nous avons besoin de toi ! Quand tu es là, nous sommes tous plus forts. Et pour l’argent, ne t’inquiète pas. Cette semaine, nous allons recevoir le chèque de Koupat Ha’ir. C’est pour cela que Koupat Ha’ir existe… »

Moché est apaisé ; son regard se radoucit. Un homme courageux qui, malgré son état, essaie de donner à ses enfants un père fort et à sa femme un appui et un soutien moral.

 

Je ne vends pas à crédit !

A l’autre bout de la ville, Yaël élève seule ses quatre enfants. Elle aussi a reçu l’avertissement de la compagnie d’électricité. Elle aussi ne sait pas comment payer cette facture. A bout de forces, elle téléphone en pleurant à l’employée de Koupat Ha’ir : « J’ai reçu un avertissement de la compagnie d’électricité. Ils vont encore une fois me couper le courant ? Nous n’aurons pas de lumière, pas d’eau chaude ? Je n’en peux plus, vraiment, je n’en peux plus ! » L’employée s’efforce de la réconforter puis inscrit ses coordonnées et les enregistre en vue de la réunion du Conseil des Rabbanim. Elle dépose une demande d’informations renouvelée pour que la situation de Yaël soit bien claire. Peut-être faut-il augmenter son allocation ? Elle ne s’en sort pas, c’est évident.

Plus loin, dans une autre rue, Léa revient de l’épicerie en pleurant. Elle n’a pas l’intention de raconter à sa mère l’incident pénible qu’elle vient de vivre. Lorsque l’épicier a refusé d’inscrire ses quelques articles sur la note, tous les clients l’ont regardée. Elle s’est sentie rougir jusqu’aux oreilles et a retenu péniblement ses larmes pendant qu’elle remettait les articles sur les étagères. Sa mère la regarde, toute triste. « Bientôt, le chèque de Koupat Ha’ir va arriver, lui dit-elle doucement. Nous pourrons payer l’épicier. Cela nous permettra d’acheter ce mois-ci. Les autres choses attendront pour l’instant. » Léa hoche la tête et ses yeux s’emplissent à nouveau de larmes. Heureusement qu’il y a Koupat Ha’ir ! Sinon, elle et ses parents, et ses cinq frères et sœurs, auraient été jetés à la rue. Son père est en dépression profonde depuis deux ans, sa mère travaille autant qu’elle peut, mais ce n’est pas beaucoup. Koupat Ha’ir les sauve, littéralement. Sans elle, que serait-il arrivé ?

Koupat Ha’ir les sauve, Koupat Ha’ir les retient pour qu’ils ne tombent pas dans l’abîme. Koupat Ha’ir est la plus grande organisation de tsédaka du monde, d’après les sommes d’argent distribuées à de si nombreuses familles qui en ont désespérément besoin. Les chèques qui viennent de Koupat Ha’ir sont le fusionnement de la bienfaisance, du désintéressement, des efforts considérables pour s’adresser à tous les Juifs du monde et leur demander de soutenir les familles démunies en Israël. Ces chèques sont la matérialisation du don, de la charité parfaite, de l’ardeur pour réhabiliter les familles sans leur ôter leur dignité, pour permettre une vie à peu près normale à des foyers qui ne peuvent l’assurer seuls.

Koupat Ha’ir intervient auprès des couches les plus défavorisées de la communauté religieuse en Israël, la plus nombreuse du monde et donc malheureusement, celle où le nombre des familles pauvres est le plus important. Il est impossible d’imaginer quelle souffrance peut se concentrer dans ces quartiers pauvres ! Koupat Ha’ir y agit avec dévouement et savoir-faire, rue après rue, quartier après quartier. Mais pas seulement là, car dans des quartiers plus riches aussi vivent des familles qui ne sont plus capables de survivre. Koupat Ha’ir les aide, elles aussi, malgré leur masque de la réussite, malgré leur apparence assurée.

A vous appartiennent les mérites de tous ces foyers que Koupat Ha’ir parvient à aider. Vous êtes ceux qui faites fonctionner la Koupa, qui injectez de l’essence dans son moteur. Koupat Ha’ir est votre envoyé, et celle de nos Grands Maîtres, pour permettre à ces foyers malheureux de survivre. Chaque orphelin est un monde entier. Chaque veuve est une famille entière. Vous les portez dans vos mains bienveillantes, vous essuyez leurs larmes.

Puisse le Ciel vous donner votre récompense entière et vous donner une bonne et douce année a vous et a tous ceux qui vous sont chers.

Pour vos dons et demandes de bénédictions, appelez Koupat Ha’ir au 0800 525 523

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