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12 Nisan 5784‎ | 20 avril 2024

Être « au milieu » du peuple

Chlomo Messica

 

Agir pour D.ieu

« Pin’has a détourné Ma colère (…) en se montrant jaloux de Ma cause au milieu d’eux » (Bamidbar 25, 12). Pourquoi est-il précisé ici « au milieu d’eux » ? Pour nous apprendre qu’un homme ne peut agir par esprit de vengeance que s’il œuvre exclusivement pour la gloire du Ciel, et non animé d’une quelconque pulsion personnelle. Aussi, au moment même où un tel homme défend une noble cause, il doit encore se considérer « au milieu » du peuple – lié à ses frères qu’il combat pour venger l’affront causé au Maître du monde (Rabbi Pin’has de Koritz).

La preuve de la bénédiction

« Voici les descendants de Binyamin (…) quarante-cinq mille six cents hommes. Voici les descendants de Dan (…) soixante-quatre mille quatre cents hommes… » (26, 41-43). Ce recensement nous montre encore une fois que la bénédiction ne dépend nullement de « faits objectifs » ou naturels : elle résulte de la seule volonté du Créateur. En effet, Binyamin, le fils de Yaacov, a eu dix fils : « Béla, Békher, Achbel, etc. » (Béréchit 46, 21). Quant à son frère Dan, il n’a eu qu’un seul enfant : ‘Houchim. Pourtant, il apparaît de ce recensement, réalisé quelques générations plus tard, que la tribu de Dan était déjà nettement plus importante que celle de Binyamin… (‘Hafets ‘Haïm).

Un relent de corruption

« Les filles de Tsélof’had (…) dirent : “Notre père est mort dans le désert. Toutefois, il ne faisait pas partie de la faction liguée contre l’Éternel, la faction de Kora’h » (27, 3). À l’instant où les filles de Tsélof’had ont prononcé ces mots, Moché y a soupçonné un relent de flatterie. En effet, les cinq sœurs avaient peut-être voulu s’attirer les bonnes faveurs de Moché, en lui rappelant que leur père ne s’était pas opposé à lui lors de la révolte de Kora’h. Or dans ce contexte, une flatterie pouvait être synonyme de corruption. Moché a donc immédiatement décidé de se retirer de l’affaire, ne se considérant plus apte à juger leur cas. C’est la raison pour laquelle « Moché déféra leur cause à l’Éternel… » (v. 5) – car il se soupçonnait lui-même d’être devenu partial à leur égard.

Un homme sur la communauté

« Que l’Éternel, le D.ieu des esprits de toute chair, désigne un homme sur cette communauté » (27, 16). Avant de quitter ce monde, Moché pria le Créateur de désigner déjà son successeur, en L’appelant ici « le D.ieu des esprits ». C’est là un message essentiel pour tout dirigeant : il doit être capable de tenir compte de la mentalité et du tempérament de chacun, à l’image du « D.ieu des esprits » qui connaît les tréfonds de toutes les âmes (Rachi). En outre, le guide du peuple doit être précisément « un homme » – non pas un ange, un être coupé des réalités de ce monde, mais un homme capable de se mettre au niveau de ses semblables (Rabbi Mendel de Kotsk).

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