Expert en automobile Efraïm Wasservoguel nous livre une reflexion sur les véhicules de demain et leur rapport avec les projets divins. Voici la première partie de cette reflexion. La seconde sera publiée dans ces pages la semaine prochaine.
Cerveau électronique, intelligence artificielle, reconnaissance automatique, décisions algorithmiques, robots « humains »… les appellations ne manquent pas pour se persuader que nous sommes tout pres de la création d’un homme nouveau. Et quand nous y parviendrons, nous serons devenus les concurrents d’Ashem ! Les scientifiques intégraient tous D. dans leur rapport à l’Homme. Max Planck qui avait découvert l’électromagnétisme écrivait : « La science ne peut prétendre à résoudre les mystères de la nature. Nous sommes, nous-mêmes, partie intégrante du mystère que nous voulons résoudre… ». Le mathématicien Leibniz qui fit entrer l’infiniment petit et les équations intégrales dans la réalité disait que notre monde est la perfection de la création de D.. Isaac Newton qui a développé les thèses de la force de gravité en observant une pomme tomber, aurait ajouté : « C’est D. qui attire les objets vers la terre ».
Aujourd’hui, il en va autrement. L’homme pense devoir recouvrer sa toute puissance et depuis l’avènement de la machine à vapeur (1848), les scientifiques n’ont de cesse de comprendre pour se soustraire au monde divin et à ses lois.
L’infiniment petit, tel que décrit par le CERN de Genève au sein de son accélérateur géant, entretient l’illusion de la découverte de l’essence de la matière.
L’infiniment grand exploré par les télescopes géants maintient les scientifiques dans le double espoir de prouver la finitude de l’univers et de percevoir les messages d’autres civilisations intersidérales.
Dans le pire des cas, les scientifiques nient D. et dans le meilleur des cas, les scientifiques veulent faire jeu égal… il leur reste bien du travail !
…Heureusement, si l’on peut dire, il y a (entre autres, bien sûr) la voiture électrique et maintenant le véhicule autonome qui démontrent à livre ouvert, les limites de la science.
La voiture électrique
Les premières voitures équipées de batterie de propulsion datent de 1997 (Toyota Prius) mais aujourd’hui, la voiture électrique continue de balbutier (moins de 3% des ventes mondiales). Et tout cela parce que les ingénieurs ne savent pas concevoir des batteries disposant d’une capacité énergétique adaptée.
Pensez donc, les batteries les plus modernes, les fameuses Li-Ion ne stockent que 100Wh par kg (ce qui signifie qu’une ampoule de 100W branchée sur cette batterie s’éteint au bout d’une heure).
Ou pour revenir à la voiture électrique, avec 1kg de batterie, une voiture parcourt 650m sur autoroute à 100km/h. Il faut 400kg de batteries pour disposer d’une réserve de 40kWh et ainsi avoir une autonomie théorique de 260km ! Avec un coût de la batterie de 20,000$.
Il faut aussi rappeler que la recharge de la batterie doit se faire lentement pour ne pas la détruire
(2 heures minimum avec un chargeur capable de supporter une décharge de 20kW).
Comment ne pas se poser la question de savoir pourquoi le stockage de l’électricité est à ce point compliquée ? Aucune réponse scientifique n’est satisfaisante et l’on comprend bien que si l’on avait une solution, on rendrait la vie des centrales électriques tellement plus simple.
Moi, j’ai ma réponse.
- dirige le monde, ouvre les yeux des scientifiques pour les aider à faire leurs découvertes lorsque le moment est adéquat (aux yeux d’Ashem). Thomas Edison a découvert la lampe électrique, le cinéma, le phonographe…
On remarquera que je dis « découvrir » et non pas « inventer ». Nos scientifiques ne font, en effet, que découvrir ce qui existe déjà. D. ouvre leurs yeux au moment de Son choix.
Alors, pourquoi pas la batterie à haute capacité énergétique ?
Après tout, un litre d’essence contient 10kWh d’énergie, 120 fois plus qu’un kg de batterie Li-Ion!.
Ma réponse est presque trop simple : Maîtriser le stockage de l’énergie électrique reviendrait à disposer d’une arme de destruction massive plus mortelle que la bombe nucléaire car accessible à tous technologiquement et économiquement.
Nous avons que notre monde et notre individu sont régis par les flux électromagnétiques. Stocker l’énergie électrique reviendrait à ouvrir la porte aux pires déflagrations et aux interventions les plus dangereuses pour l’humanité.
Il convient donc de se rendre à l’évidence : D. ne veut pas doter l’homme de cette maîtrise. ( A suivre)