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19 Adar II 5784‎ | 29 mars 2024

La communauté juive a perdu une figure inoubliable, Rav Itshak (Georges) Dourmashkin.

Lorsque le rav de Poniovitz rencontra le rav Its’hak Doumarshkin il fut impressionné par sa noblesse.

Le  rav  Doumarshkin  connut  une  enfance  difficile :  orphelin de  guerre, il fut  caché  pendant la  Shoah dans la campagne et revint à Paris à l’âge de la Bar Mitsva, seul, sans famille. Courageusement, il se lia au  rav Its’hak  Schneerson,  cousin du  Rabbi, et  grandit en s’épanouissant  dans la  chaleur de la Hassidout,  prenant  toujours  soin d’être  rigoureux  envers  lui et  doux et  gentil  envers  les  autres. Il fut proche de la Yechiva de Brunoy et de la communauté Loubavitch auxquelles il resta toujours attaché. Dans ce Paris des années 50, ce jeune homme souriant dont le visage reflétait l’amour d’Hachem et du prochain ne pouvait que susciter l’admiration. Rav   Doumarshkin   excella en   tant que   dessinateur   industriel et   chef-scout. Il se dévoua à l’enseignement dans différents Talmudé-Torah.  Il rencontra sa femme à Aix-les-Bains où le Rav Its’hak Chajkin le prit tout de suite en affection.  Rav Shontal, le convainquit d͛’œuvrer pour le Kodech et c’est ainsi qu’il devint professeur dans diverses écoles. Pendant plus de 50 ans, il enseigna avec amour et patience, puisant son Limoud HaTorah du Rav Westheim,  dont il se  sentira  éternellement le  disciple.  Bien  qu’il  n’ait  jamais  étudié  à  temps  plein, sa motivation  était  telle  qu’en  assistant  à  des  Chiourim  régulièrement, il  acquit un  niveau  honorable. Il conserva toute sa vie une véritable soif d’apprendre. Beaucoup d’élèves ont témoigné qu’au contact de rav Dourmashkin leur méthode de découverte des textes avait été transformée.Le   rav   incarnait le   sens de la responsabilité :   Rabbi   Yaacov   Toledano   zatsal   disait   : avec   rav Dourmashkin je peux partir tranquille.  Il  avait  toujours un  Séfer en  poche,  même  lorsqu’il  sortait  avec sa  famille.  Ainsi  chaque  instant  était une occasion d’acquérir encore une perle de Torah. Rav Rottenberg, qui l’appréciait beaucoup, le fit participer à l’élaboration de son calendrier. Sa  maison  à  Paris  était  ouverte  à  tous.  Chabbat, une  table de  3  rallonges  était  parfois  dressée  pour recevoir les nombreux invités.Il accordait de l’importance à tous, ne s’arrêtant pas au statut social ni à l’origine de son interlocuteur. Pour lui, chacun était digne de considération. C’est ainsi que tous l’appréciaient. Motsaé Yom Kippour, après avoir passé plus de 24h sans dormir à la Choule, il ne cassait pas le jeûne comme le faisait la communauté mais rentrait à la maison et faisait la Havdala. Puis, il commençait la Souccah.  Sa  journée  débutait  à  5h,  par se  tremper au  Mikvé.  Etant le  premier, il en  avait  même  les  clefs.  Puis avec un  emploi du  temps  chargé, il ne se  permettait  qu’une  sieste de 20  min.  Dans sa  Guemara,  ses annotations autour du Texte attestent qu’il aurait achevé 4 ou 5 fois le Chass. Durant sa dernière maladie, il ne cessait de remercier ceux qui s’occupaient de lui. Son médecin confia que nul n’aurait imaginé la gravité de son dossier médical. Rav  Dourmashkin  était un  véritable  soldat  d’Hachem. Il restera  pour  tous  ceux  qui  l’ont  connu un exemple de dignité, de noblesse et de droiture. Qu’ Hachem console sa femme et sa famille ainsi que ses nombreux élèves qui l’ont tant aimé !

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