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18 Nisan 5784‎ | 26 avril 2024

Aujourd’hui, la yéchiva de Mir en Israël

De 1944 à nos jours

En 1944, rav Eliézer Yéhouda Finkel ouvre une succursale de la yéchiva de Mir à Jérusalem, dans le quartier Bet Israël. A la fin de la guerre, la plupart des survivants de la yéchiva, réfugiés à Shanghaï, rejoignent rav Eliézer Yéhouda, tandis que d’autres se dirigent vers les Etats-Unis. Dès sa réouverture à Jérusalem, la yéchiva accueille des étudiants d’origines diverses, provenant aussi bien du milieu ‘hassidique, lituanien que hiérosolimytain. Après le décès de rav Eliézer Yéhouda en 1965, la yéchiva de Mir est dirigée successivement par les Raché Yéchivot suivants : rav ‘Haïm Schmulevitz, rav Binyamin Beynich Finkel et rav Na’houm Partsovitz. Dans les années 80-90, la yéchiva compte près de 500 élèves. Mais c’est sous la direction de rav Nathan Tsvi Finkel (de 1990 à 2011) que le nombre d’étudiants croît de façon fulgurante.
Mir aujourd’hui, en chiffres

Pour avoir une idée de ce que représente aujourd’hui la yéchiva de Mir, devenue un véritable « empire de Torah » dirigée par rav Eliézer Yéhouda Finkel, fils aîné de rav Nathan Tsvi, voici quelques chiffres fort éloquents :

– 8000 étudiants (célibataires et mariés) fréquentent au quotidien cette institution de grande renommée. Ils sont originaires de 28 pays différents : plus de la moitié sont israéliens, près de 25 % sont américains ou canadiens et environ 15 % européens.

– La yéchiva compte 25 salles d’étude, propose 93 programmes d’étude variés et organise 65 cours par jour, en cinq langues différentes. Dans le monde des yéchivot, le cours magistral qui attire la plus grande audience est celui du rav Acher Ariéli. Il est transmis en yiddish et reste fidèle à la méthode d’étude établie par le rav Na’houm Partsovitz, caractérisée entre autres par une étude minutieuse et rigoureuse de Rachi.

– La logistique de cette institution est extrêmement bien gérée. A titre d’exemple, 11 580 repas sont distribués au quotidien et la yéchiva assure 120 lignes de transport. – En outre, la direction de la yéchiva a institué bon nombre de services pour faciliter la vie quotidienne des étudiants, et plus particulièrement celle des pères de famille. Ainsi, un Bet Horaa (permanence de décisionnaires halakhiques) fonctionne en continu et un centre de conseils médicaux a été mis sur pied. La yéchiva propose également : différentes caisses de prêt d’argent, une salle informatisée donnant notamment accès à des milliers d’ouvrages numérisés, des ventes promotionnelles à l’approche des fêtes, etc. Cette liste de services est loin d’être exhaustive puisqu’à Mir, on pense à tous les détails qui pourraient alléger la vie quotidienne des étudiants afin que leur esprit soit disposé à s’investir pleinement dans leur étude.

La yéchiva de Mir et son lien avec la communauté francophone

De nombreux Rabbanim de France ont étudié à Mir, notamment rav Mordékhaï Rottenberg, rav Réouven Ohana, rav Yaakov Monsonégo, rav Chmouel Melloul ou encore rav Chlomo Fresh. Actuellement, on peut trouver à Mir aussi bien des jeunes francophones de 18 ans que des anciens avrékhim de 50 ou 60 ans. Plusieurs projets spécialement conçus pour les francophones sont organisés dans le cadre de la yéchiva. Les jeunes ba’hourim se trouvent ainsi encadrés et ont l’opportunité de tisser des liens avec leurs Rabbanim. Toutes les chances leur sont ainsi offertes pour que leur passage à la yéchiva soit une expérience enrichissante etsynonyme d’élévation spirituelle. Deux à trois fois par an, le Roch Yéchiva donne cours à l’ensemble des ba’hourim et avrékhim français. Chaque semaine, rav Binyamin Finkel organise un « vaad » (cours de moussar) pour les jeunes français. Par ailleurs, rav Israël Aryé Brand (fils de Rav Yé’hiel Brand de Sarcelles) dirige un groupe de ba’hourim et leur donne régulièrement cours. En outre, un Chabbat plein annuel est organisé pour les étudiants français, et prochainement, un recueil d’exposés rédigés par les ba’hourim français de Mir sera diffusé. Les avrékhim ne sont pas non plus en reste, puisque rav Guershon Cahen, également Roch Yéchiva de Bet Halévy, dirige deux groupes d’étude de haut niveau. Dans cette panoplie de programmes, une place a également été réservée au public féminin francophone, pour lequel la yéchiva organise une soirée annuelle. À cette occasion, il convient d’évoquer l’investissement remarquable de rav Avraham Elhadad de Sarcelles qui organise tous les ans, depuis 1982, un gala de soutien en faveur de la yéchiva à la période de Chavouot. A cette occasion, rav Elhadad accueille chaleureusement l’un des Raché Yéchivot actuels, rav Its’hak Ezra’hi, gendre de rav ‘Haïm Schmulevitz. Le message récurrent, formulé en français, que rav Ezra’hi adresse à la communauté a trait à l’importance d’étudier « absolument tous les jours ». Que cette institution fondée, sur de solides bases d’Ahavat Hatorah (amour de la Torah) et de Messirout Néfech(dévouement et abnégation) puisse continuer à porter le flambeau de la Torah et hâter la délivrance finale du Am Israël !

Y.L.

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