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11 Nisan 5784‎ | 19 avril 2024

Lors de la seconde « Conférence de paix » de Paris en sept mois Nouveau superbe « coup d’épée dans l’eau » de la diplomatie française » !

French President Francois Hollande delivers a speech at the Mideast peace conference in Paris, France, January 15, 2017. Foreign ministers and representatives from around 70 countries are seeking to revive the moribund Israeli-Palestinian peace process. REUTERS/Bertrand Guay/POOL - RTSVLUQ

Les représentants de 70 nations et institutions de la planète – dont plus d’une vingtaine appartenant à la Ligue arabe et à l’Organisation de la Coopération islamique – réunis à Paris en ce dimanche 15 janvier ont réaffirmé leur credo dans « la solution à deux Etats » et demandé « l’arrêt des violences et de la colonisation juive en Cisjordanie » en rappelant la Résolution 2344 de l’ONU du 23 décembre dernier. Mais c’est surtout l’ombre du président américain élu, Donald Trump, qui planait au-dessus de la capitale française…La Déclaration finale de cette 2e édition de la Conférence de Paris, après celle passée quasiment inaperçue de juin dernier, exhorte Israéliens et Palestiniens – , dont le dialogue est gelé depuis près de trois ans – à « démontrer leur engagement pour la solution à deux Etats et à sabstenir dactions unilatérales qui préjugeraient du résultat de la négociation concernant notamment les frontières, le statut de Jérusalem et les réfugiés » – le texte précisant que si de telles actions étaient prises, « ils ne les reconnaîtront pas ».Fait intéressant qui en dit long sur l’inutilité de cette nouvelle rencontre internationale tenue à cinq jours de l’entrée de Donald Trump à la présidence américaine, mais tant désirée par un président français en fin de mandat qui espérait redorer son blason par une réussite diplomatique « spectaculaire » : la Grande-Bretagne devait refuser d’en cosigner la Déclaration commune finale au prétexte que cette réunion, tenue en l’absence des principaux intéressés Israéliens et Palestiniens, risquerait plutôt de « durcir » leurs positions…Un refus illustrant la volonté de Londres de rester proche de la prochaine administration américaine. Le matin même, le Premier ministre Binyamin Nétanyaou devait qualifier à Jérusalem cette rencontre de « futile autant qu’inutile (…), aux allures de reliquedune approche totalement dépassée des problèmes du Moyen-Orient qui deviendra totalement obsolète ce vendredi avec lentrée en fonction de Donald Trump à la Maison-Blanche. (…) Car demain sera différent et demain arrive très vite ! ». Quant aux Palestiniens, ils se sont aussitôt félicités des conclusions de la conférence, le numéro 2 de l’OLP, Saëb Erakat, estimant qu’elle avait « souligné la nécessité de mettre fin à l occupation israélienne ».

Net soulagement à Jérusalem où Nétanyaou a dénoncé « l’inutilité » de cette rencontreOn expliquait au ministère des Affaires étrangères à Jérusalem qu’Israël avait pu, en déployant d’importants efforts diplomatiques auprès de certains pays participant à cette conférence, modérer les termes de sa Déclaration finale qui en fait, contrairement à ceux de la Résolution 2344, ne qualifie pas la partie-Est de Jérusalem (et donc le Mur occidental de la Vieille Ville) de « territoire occupé »,  et qui a évité aussi de reprendre les mots très agressifs du chef de la diplomatie française, Jean-Marc Ayrault, ayant qualifié dans une conférence de presse de « grossière provocation » l’intention de Donald Trump de transférer l’ambassade américaine de Tel-Aviv à Jérusalem… Même si Ayrault devait pourtant convenir lui-même que la France et l’Union européenne – dont les ministres des Affaires étrangères se sont réunis le lendemain à Bruxelles pour adopter une « position commune » sur ce dossier –« devront ouvrir un dialogue avec la nouvelle administration américaine ». Autant de remarques qui illustrent le soulagement évident ressenti à Jérusalem à la fin de cette morne journée parisienne – qui n’entrera assurément pas dans l’Histoire… ni celle de la France et encore moins dans celle du Moyen-Orient -, du fait notamment qu’aucune décision ni démarche nouvelles n’y ont été initiées…Et aussi parce que le chef de la diplomatie américaine, John Kerry, devait prévenir par téléphone Binyamin Nétanyaou que son pays n’entendait pas se servir des positions prises dans la capitale française pour initier l’adoption d’une nouvelle Résolution à l’ONU, d’autant que le nouveau secrétaire de l’ONU n’était pas présent ce jour-là à Paris…Alors, devrait-on donc dire merci  à M. Kerry ?! Richard Darmon

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