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17 Nisan 5784‎ | 25 avril 2024

La plupart des habitants d’Amona devraient rester, finalement sur la colline

An Israeli youth stands on an observation point overlooking the Jewish settler outpost of Amona in the West Bank November 16, 2016. REUTERS/Ronen Zvulun - RTX2TXQ5

Décidément dans le dossier d’Amona, les rebondissements sont nombreux et ne permettent pas encore, quelques jours avant la date-échéance fixée par la Cour Suprême, de connaître le sort de cette localité devenue un véritable symbole au sein de la droite idéologique en Israël. Après plusieurs mois de tractation et après une semaine d’incertitude durant laquelle l’évacuation, y compris par la force d’Amona est redevenue d’actualité, Binyamin Nétanyaou et Naftali Bennett sont parvenus à trouver une solution de compromis qui devrait permettre non pas l’évacuation, mais le déplacement des 40 familles d’Amona ou au moins une partie d’entre elles, sur un autre flanc de la colline où elles se sont installées. La semaine dernière, on pensait que cette solution de compromis proposée par le Conseiller juridique du gouvernement Avi’haï Mendelblit serait mise en application. Mais c’était sans compter sur l’« ingéniosité » sournoise des ONG de l’extrême gauche israélienne toujours très prompte à mettre le gouvernement dans l’embarras. En effet, on a appris, mercredi dernier 7 décembre, que des civils palestiniens s’étaient brusquement souvenus de leurs droits de propriété sur deux des parcelles sur lesquelles devaient s’installer les habitants d’Amona. Et quasiment d’un seul coup, cette option de déplacement a été abandonnée et bon nombre d’habitants d’Amona ont compris que l’on s’acheminait irrémédiablement vers une évacuation. Des rumeurs sur une évacuation d’Amona par les forces de l’ordre, dès samedi soir dernier, ont commencé à circuler. Mais finalement, elles ont été formellement démenties. Quant aux tractations entre Binyamin Nétanyaou et Naftali Bennett, elles ont repris, le dimanche11 décembre. Elles ont abouti le lendemain soir à un compromis selon lequel la plupart des habitants pourront rester sur des terres dites « abandonnées », mais il faudra que d’autres se sacrifient et redescendent de cette colline. À l’heure où nous bouclions cette édition, les habitants d’Amona débattaient de cette proposition de « déplacement » sous un angle plutôt « favorable » et dans l’entourage de Binyamin Nétanyaou comme dans celui de Naftali Bennett, on émettait l’espoir que ce compromis serait accepté par eux.   Si c’est effectivement le cas, alors le gouvernement demandera un report d’un mois de la décision d’évacuer, et ce, afin de lui permettre de prendre ses dispositions et de veiller à ce que tous les habitants déplacés puissent retrouver une maison de superficie égale. Selon la proposition initiale du Dr Mendelblit, la superficie totale de cette zone n’était que de 1,2 hectare, soit un tiers de ce dont les habitants juifs disposaient jusque-là. Ce qui confirme la bonne volonté du gouvernement qui a travaillé dur pour trouver une solution.    Ceci étant, même si comme on l’a cru cette dernière semaine que cette évacuation était imminente, et que l’on allait assister à de nouvelles scènes de violences durant celle-ci, il convient de rester prudent. Le président de la campagne médiatique en faveur d’Amona, Avi’haï Bouaron a pris la parole durant Chabbat dernier dans la principale synagogue d’Amona. Il a demandé aux habitants de veiller au maintien du calme, et d’éviter la moindre provocation : « Nous ne lèverons pas la main sur nos frères ni sur nos soldats et nous

contenterons d’une résistance passive ». Il convient en effet de préciser que le contexte actuel ne rappelle aucunement celui qui régnait en février 2006 quelques jours avant la première évacuation d’Amona. À l’époque, cet avant-poste ne comptait que 9 caravanes dans lesquelles vivaient quelques familles et des célibataires. Et l’on se souvient que l’évacuation de ce site par la police avait été extrêmement violente et avait provoqué un véritable traumatisme dans la société israélienne. D’un côté, les forces de police avaient fait usage de la force afin qu’Ehud Olmert alors tout nouveau Premier ministre, puisse prouver à la population israélienne qu’il était lui aussi comme Ariel Sharon capable d’évacuer des localités, y compris sur les hauteurs stratégiques de Judée et Samarie. De leur côté, les habitants et les sympathisants d’Amona entendaient prouver au nouveau Premier ministre qu’ils n’accepteraient pas le moindre compromis et qu’ils se battraient jusqu’au bout pour défendre leur village, et ce, afin qu’Olmert comprenne bien que le cas du Goush Katif était isolé et qu’un remake de ce drame ne se reproduirait plus.   Aujourd’hui, le contexte politique est nettement différent : non seulement le gouvernement actuel est un véritable gouvernement de droite, mais il vient de faire voter, grâce à Naftali Bennett, une loi considérée comme historique par les habitants de Judée-Samarie, une loi légalisant les avant-postes sauvages ! Voilà pourquoi s’il doit y avoir une opposition à l’évacuation, elle devrait être limitée, tant les appels au maintien du calme ont été répétés.   Daniel Haïk

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