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10 Nisan 5784‎ | 18 avril 2024

Le souvenir vivace de Maran Rav Ovadia Yossef zatsal

Il y a six ans, le 3 ‘hechvan 2013 s’éteignait l’une des plus grandes références du judaïsme du 20e siècle ; Rav Ovadia Yossef ל »זצ .Rav Ovadia Yossef fit rapidement figure d’autorité aussi bien en tant que décisionnaire halakhique qu’en tant que leader et unificateur du monde juif séfarade, à qui il permit d’acquérir un poids politique à travers la création du parti Shass. Recenser les innombrables accomplissements et décisions de ce grand maître semble être un objectif difficilement réalisable. Ainsi, trêve de discussions, et tentons plutôt d’illustrer sa légendaire personnalité à travers quelques histoires bien réelles, qui illustreront je l’espère certains traits de caractère propres à ce grand homme.

Quand un soir de Séder la sortie d’Egypte fut accompagnée d’une autre libération…

En 1957, Rav Ovadia Yossef était dayan de la ville de Peta’h Tikva. Or, peu avant la veillée du Séder, il convoqua d’urgence le Beth Din, tribunal rabbinique de la ville. Devant l’imminence (et l’éminence) de cet appel, ces derniers se récrièrent « Qu’est-ce qui peut bien justifier une telle précipitation ? Nous ne sommes pas médecins ! ». « Nous sommes bien plus que médecins » leur rétorqua Rav Ovadia, « il y a un homme qui siège à ce jour en prison, et refuse d’accorder le get (l’acte de divorce) à sa femme. Or ce dernier, loin de se considérer comme un criminel, pensait être sorti de prison afin de célébrer dignement la fête de Pessa’h. Lorsqu’il réalisa enfin qu’il ne serait pas de retour chez lui pour la fête, il me fit mander en m’enjoignant de le libérer, contre la promesse de libérer sa femme à l’issue de la fête. C’est pour cette raison que vous êtes ici réunis, nous n’attendrons pas la fin de la fête mais lui feront signer le get dès maintenant. ». Ce soir-là, Rav Ovadia Yossef rentra tard procéder à la bdikat hametz, insistant pour que ses enfants comprennent l’importance de son combat : « Maintenant que cette femme est libre » ajouta-t-il « je peux conduire le Séder ».

Beth Chamay/Beth Hillel

Ces deux écoles de pensée qui se confrontèrent à l’époque des zougot sont traditionnellement citées afin d’illustrer deux sortes d’interprétation de la loi juive, l’une plus rigoriste, représentée par Beth Chamay et l’une plus souple, menée par Beth Hillel. Lorsque Rav Its’hak Yossef succéda à son père Rav Ovadia, il suivit également l’un de ses impératifs éthiques dans la fixation de la halakha « Juge selon Beth Hillel, et fais en sorte que la loi juive ne devienne pas un fardeau pour le peuple juif. Ne sois pas ma’hmir, plus rigoureux que le nécessaire avec la collectivité »

Parce que toute blessure ne peut cicatriser si elle n’a pas été pansée/pensée

Se présenta un jour chez Rav Ovadia un homme victime de terribles douleurs dans la jambe, que rien ne parvenait à soulager. Malgré de maintes consultations chez les plus grands médecins, nul ne parvenait ne seraitce qu’à expliquer l’origine de ses souffrances. Quand cet homme se rendit chez Rav Ovadia dans l’espoir de trouver une quelconque solution à son mal, il fut surpris par la question de ce grand maître « Mon fils, peut-être dans le passé aurais-tu fait quelque chose à quelqu’un ? Aurais-tu blessé un jour quelqu’un ?». L’homme blêmit, et plissa son front afin de rassembler ses souvenirs « non », répondit-il, puis finalement ajouta « Il y a peut-être quelque chose ». Rav Ovadia insista « Essaie de te souvenir », et à sa grande surprise remua la mémoire enfouie de son visiteur qui se mit à raconter « Quand j’étais enfant, il y avait parmi mes camarades un enfant pauvre dont les chaussures étaient déchirées. J’étais parmi les enfants qui se moquaient de lui et de ses chaussures misérables ». « Si c’est ainsi », lui répondit Rav Ovadia, « Retrouve-le et demande lui pardon ! ». L’homme secoua la tête en signe de déni « mais enfin comment le trouver ? La seule chose dont je me souvienne est son nom : Yossef ! ». C’est avec des yeux perçants que Rav Ovadia le fixa et lui dit « Regarde-moi, c’est moi Yossef et je te pardonne. ». Et c’est ainsi que disparurent les douleurs de cet homme….

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