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18 Nisan 5784‎ | 26 avril 2024

Cinq mille convives au kinous Habad de New York !

Seize des vingt chlou’him de Pittsburgh étaient présents au traditionnel rassemblement mondial annuel du mouvement Loubavitch. Après la tuerie du 27 octobre, les médias américains avaient les yeux rivés sur eux. Récit avec un participant français, le rav Pevzner.

Le grand kinous des chlou’him Habad existe depuis le milieu des années 80 mais ne rassemblait
à l’origine que les rabbanim américains. Le Rabbi de Loubavitch a décidé, en 1987, d’en faire une réunion internationale. Elle a connu une expansion quasi-continue et la dernière en date, du 1er au 4 novembre 2018, a vu trois mille trois cent quatrevingt- un « émissaires » du monde entier (sur environ quatre mille huit cents en activité) et leurs proches se presser à New York, autour du siège historique du mouvement :  le fameux 770 Eastern Parkway. Parmi eux, de nombreux Français. Selon le rav Yossef Its’hak Pevzner, qui dirige les institutions scolaires parisiennes Sinaï et habitué de ce rendez-vous annuel, il y aurait une dizaine de chlou’him supplémentaires dans l’Hexagone depuis 2017. La journée du jeudi 1er a été consacrée à des ateliers de réflexion dans le cadre imposant du centre de conférences de Great Neck, à Long Island. Acheminés en bus depuis Brooklyn, les participants se sont penchés sur la manière de s’adresser aux étudiants ou aux personnes âgées. Des sessions étaient dédiées aux problèmes conjugaux et aux moyens d’y remédier dans sa communauté, au chalom baït (paix du
foyer) au sein même des couples de rabbanim, aux collectes de fonds, à la gestion du budget d’un Beth Habad… Le 2, le traditionnel pèlerinage sur la tombe du Rabbi, au cimetière privé israélite
Moïse Montefiore du quartier du Queens, a attiré comme à l’accoutumée une foule compacte. Une heure de queue, au minimum, était nécessaire pour avoir droit à la petite minute de recueillement
réservée à chacun devant la sépulture. Des tehilim étaient lus dans l’intervalle. « Une tente était dressée non loin de là, raconte le rav Pevzner, on a pu y écouter des drachot du Rabbi et on a chanté avec lui par vidéos interposées. Un pidyon nefech, autrement dit un manuscrit composé de voeux pour chaque chalia’h et pour le klal Israël en général a été rédigé et entreposé à cet endroit.
Les pèlerins en ont récité des passages sur la tombe assortis de souhaits personnels, afin de solliciter la berakha posthume du Rabbi. Je m’y suis rendu une seconde fois le dimanche 4. J’étais seul et j’ai eu le temps de prier au nom de quelques fidèles restés en France ».  Le Chabbat a donné lieu à une séouda
géante, avec au moins deux mille cinq cents convives qui ont festoyé dans la salle de réception Ohalei Torah d’Eastern Parkway. Les allocutions, le guefilte fish, le strudel… : tout était parfait, aux dires du rav Pevzner, grâce aux talents d’organisateur du coordinateur du kinous, le rav Moché Kotlarsky, vice-président du Beth Loubavitch international. Une longue série de farbrengen s’en est suivie et on a de nouveau récité des psaumes dans la grande choule du Rabbi. Le melavé malka s’est tenu à Borough Park, au sud de Brooklyn, et le banquet final dans les locaux du Rockland Community College, situé à Suffern, dans l’Etat de New York. Ce dimanche 4 novembre, il y avait là cinq cents tables de dix places pour le repas de midi. Les quelque cinq mille invités n’étaient pas tous des rabbanim du mouvement. Ceux-ci étaient flanqués de parents ou d’amis désireux de participer à ce moment de convivialité exceptionnel en diaspora. Au coeur du rassemblement : le ‘hessed et l’entraide entre chlou’him au-delà des frontières – et en direction de tous nos coreligionnaires, fidèles ou non des Baté Habad. Seize rabbanim Loubavitch de la très ancienne communauté de Pittsburgh étaient présents, sur les vingt en exercice dans la ville de Pennsylvanie endeuillée par le massacre du 27 octobre. Des tehilim ont été lus à la mémoire des disparus. Cet événement unique, pire attentat antisémite de l’histoire des Etats-Unis, explique sans doute le nombre impressionnant de journalistes, juifs et non-juifs, ayant couvert le kinous pour les médias d’outre-Atlantique.
Axel Gantz

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