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11 Nisan 5784‎ | 19 avril 2024

Après l’attentat de Barkan Le maigre espoir d’une coexistence pacifique dans les zones industrielles mixtes, ébranlé

Israeli security forces at the scene of a shooting attack in Barkan industrial zone in the West Bank on October 7, 2018. Photo by Flash90 *** Local Caption *** éøé ëåçåú îùèøä áø÷ï àéæåø úòùéä

Par son extrême cruauté l’attentat dans la zone industrielle de Barkan, qui a couté la vie dimanche 7 octobre à Kim Levengrod-Yehzkiel, 28 ans de Roch Aayin et à Ziv ‘Hadjbi 35 ans, de Nir Israël zal, a provoqué une très forte onde de choc dans la société israélienne ainsi que dans le monde juif. Il s’avère en effet que le terroriste a véritablement exécuté la jeune femme, mère d’un enfant d’un an après avoir demandé à un ouvrier de maintenance palestinien de lui ligoter les mains et ce avant d’abattre sommairement Ziv ‘Hadjbi. Seule rescapée de cet attenta  Sarah Venturi a raconté de son lit d’hôpital qu’elle n’avait eu la vie sauve que parce
qu’elle avait réussi à fuir et à se cacher sous une table. Mais au-delà de cette onde de choc, ce terrible attentat a focalisé l’attention sur la zone industrielle de Barkan et à travers elle, sur les 13 autres zones industrielles situées à l’entrée de la Judée-Samarie. Selon certaines données ce sont près de 17.000 travailleurs qui se rendent, chaque matin, dans plus d’un millier d’entreprises installées au coeur de ces zones industrielles mixtes, dont 10.000 environ sont des Palestiniens, la zone la plus importante étant, précisément celle de Barkan avec près de 3000 ouvriers palestiniens. Pour beaucoup d’Israéliens, ces zones industrielles sont devenues au fil des ans le symbole d’une coexistence pacifique entre Israéliens et Palestiniens. En effet, chaque jour, ils sont des milliers à travailler, côte à côte, à manger ensemble et à dialoguer. Parfois, comme l’a reconnu un ouvrier palestinien peu après l’attentat, les relations sont plus étroites encore. Parfois également, un simple ouvrier palestinien peut grimper dans la hiérarchie et atteindre des postes de direction. Mais, ces zones industrielles ont également souffert douloureusement : d’abord durant la seconde intifada. Plus d’une fois, comme dans l’attentat de cette semaine, cette coexistence pacifique a été mise à dure épreuve par la haine des terroristes palestiniens. Mais ce n’est pas tout, ces zones ont également souffert de la stupidité des dirigeants et militants du BDS : sans connaitre les méandres de la réalité sur le terrain, ces apôtres béats du boycott
d’Israël ont dénoncé la présence de sociétés israéliennes sur les «territoires occupés palestiniens». Mais au lieu de s’intéresser de plus près à la composition hétéroclite de ces sociétés, au lieu de venir sur le terrain constater de visu qu’Israéliens et Palestiniens pouvaient travailler ensemble sans se regarder en permanence en chiens de faïence, ils ont lancé des campagnes qui ont
conduit par exemple des modèles de coexistence comme le consortium Sodastream (récemment racheté par Pepsico) à quitter la Judée Samarie pour s’installer dans le Néguev. De facto, ces militants BDS ont provoqué de leurs propres mains le limogeage de centaines de Palestiniens qui se sont retrouvés du jour au lendemain sans possibilité de subvenir aux besoins de leur famille.
Pourtant en dépit de ces obstacles, ces zones industrielles continuent à exister.
Malgré les difficultés, les patrons de ces sociétés, qui sont souvent israéliens, s’acharnent pour la plupart à penser qu’il est possible de continuer à travailler main dans la main. Mais ils exigent, et on peut les comprendre après l’attentat de Barkan, que les mesures de sécurité à l’entrée de ces zones soient renforcées. Il s’avère en effet que le terroriste responsable de l’attentat a pu pénétrer dans la zone de Barkan et dans les bureaux de la société Alon où il avait travaillé avec une arme, sans être inquiété le moins du monde : «Nous restons des fervents adeptes de la coexistence entre les deux peuples. Mais cet acte abject nous a destabilisé, a déclaré Eran Bodenkin, l’un des directeurs d’Alon. Il faut que nous puissions garantir la pleine sécurité à nos employés. Il faut que les ouvriers palestiniens que nous employons puissent être à 100% dignes de confiance. C’est l’armée qui leur accorde des permis de travail. C’est à elle de modifier les critères afin que ce qui s’est passé dimanche ne se reproduise plus».
Daniel Haïk

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