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12 Nisan 5784‎ | 20 avril 2024

Rav Yaacov Sitruk La Techouva c’est faire un bilan de nos défaillances mais aussi de nos atouts

Le calendrier hébraïque est articulé de manière à nous permettre de vivre pleinement chaque événement. Au-delà des expériences qui s’enchaînent, il y a une leçon qu’il nous faut retenir. L’événement est toujours porteur d’une dimension que l’homme peut côtoyer voire s’en inspirer
ou encore mieux, il peut se réaliser grâce à elle. Au printemps, nous avons vécu la période de la libération, celle de la sortie d’Egypte. Puis, nous sommes rentrés, durant l’été, dans une période de deuil du 17 Tamouz au 9 Av, qui elle-même est suivie pendant sept semaines d’une phase appelée celle de la ne’hama –la consolation. En effet, le manque que nous appelons le deuil amène la personne qui sait apprendre de cet événement, la possibilité de combler le manque sans que rien ne soit remplacé.
La consolation dans la vie, c’est apprendre à vivre malgré ce qui nous a été enlevé et découvrir donc, quelque chose de nouveau. Il faut sept semaines de consolation pour trois semaines de deuil. Après cette
période, nous sommes à présent dans ce qui s’appelle la techouva et le din –le jugement.
Lorsqu’un homme a connu toutes les phases par lesquelles nous venons de passer, il arrive vers une certaine maturité qui oblige à faire le point, il faut qu’il se situe à l’intérieur de son propre parcours ;
Je suis libre donc indépendant, donc je peux produire, je reçois la Torah, elle me structure et puis, malheureusement la période de deuil m’apprend à apprécier ce que je n’ai pas ou ce qui me reste.
La consolation, c’est réapprendre à vivre avec tout cela. La techouva, c’est faire un bilan qui me permet de m’apprécier en tenant compte de mes défaillances mais aussi de mes atouts ; Je fais le point pour
réaliser ce que j’ai réussi mais aussi des échecs que j’ai pu connaître.
Et, toute cette période nous mène vers la véritable destination ce que l’on appelle dans la tradition : zman sim’hatenou –le temps de la joie. Beaucoup sont persuadés que l’on est joyeux quand tout va bien, la Torah vient nous apprendre une autre idée de ce qu’est la joie. Elle est le résultat d’un effort, l’aboutissement d’un parcours. Elle est une obligation plus qu’un atout. On l’acquiert quand on a parcouru tout un ensemble d’événements et d’expériences et que, malgré tout ou grâce à tout on arrive
à sa véritable dimension.
La joie, c’est ce qui permet à l’homme d’apprécier tout et surtout de s’apprécier soi-même, de focaliser son regard sur ce qu’il y a de positif parce qu’il l’a décidé.
Nous sommes à la veille de Kippour et nous sommes déjà à la veille de Souccot et donc, de Simhat Torah.
Puissions-nous tous être jugés favorablement par HaKadosh Baroukh Hou et avoir la chance nous-mêmes de découvrir la joie qui est en nous et la chance de vivre tous ces moments tellement intenses en
réalisant qu’ils nous apportent et combien ils nous changent de façon positive.

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