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18 Nisan 5784‎ | 26 avril 2024

Pour exprimer sa frustration, Abbas insulte les Américains, et s’enferme dans une attitude de refus  

Palestinian President Mahmoud Abbas speaks during a meeting of the UN Security Council at UN headquarters in New York, U.S., February 20, 2018. REUTERS/Lucas Jackson - RC1EB8CC5BF0

 

Les observateurs l’auront très clairement remarqué : depuis l’attentat auquel le Premier ministre palestinien Rami Hamdalah a échappé, la semaine dernière à l’entrée de Gaza, Mahmoud Abbas ne cesse de durcir le ton. Et jeudi dernier, la presse israélienne faisait état des « Trois nons » que le raïs palestinien aurait adopté (allusion aux « trois Nons » du sommet de Khartoum en septembre 67) : « Non à une reprise du dialogue avec les Américains ; non au plan de paix que prépare l’administration Trump, et non aux demandes américaines de cesser sa campagne anti-israélienne au sein des instances de l’ONU. Et pour justifier cette attitude réfractaire, Abbas n’a avancé qu’une seule et unique raison : la décision du président Trump de reconnaître Jérusalem comme capitale d’Israël et son intention d’inaugurer cette ambassade le 14 mai prochain. Cette position de rejet de la part du président palestinien a surpris les Américains qui espéraient tout de même qu’après trois mois de brouille, ils réussiraient à persuader Abbas de revenir à la table des négociations. Mais cette surprise n’était rien, comparée à la colère qui s’est exprimée à Washington, ce lundi soir, après que l’on a appris qu’Abbas avait publiquement, devant le Conseil Palestinien réuni à Ramallah, osé traiter David Friedman, l’ambassadeur US en Israël de « fils de chien » ! Qu’importe que Friedman ait affirmé que les Israéliens avaient le droit de s’installer dans les implantations. Qu’importe si parfois Friedman paraît bien plus nationaliste que de nombreux Israéliens. Insulter ainsi l’ambassadeur américain est un crime de lèse majesté que tant l’administration Trump que Binyamin Nétanyaou ne pouvaient tolérer. D’autant plus qu’il se rajoute à une autre insulte proférée récemment par le raïs qui avait souhaité à Donald Trump que « sa maison soit détruite ». Visiblement, Abbas n’est pas content et lorsqu’il n’est pas content, il insulte !

En fait, il y a plusieurs raisons à ce mécontentement du vieux leader palestinien : la position américaine de plus en plus pro-israélienne, le déplacement de l’ambassade américaine à Jérusalem, le retour de la fracture avec le Hamas, la maladie, et les rivaux qui attendent son départ. D’ailleurs, cette terrible frustration n’est probablement pas étrangère au regain de tension auquel on assiste ces derniers jours en Judée-Samarie, dans la Bande de Gaza ainsi qu’à Jérusalem. Même si Abou Mazen s’oppose à la violence, il fait souvent passer des messages qui prouvent le contraire comme son accolade récente avec un terroriste assassin récemment sorti des prisons israéliennes. Toutefois, même s’il n’y avait pas toutes ces raisons, il en est une, majeure, qui pourrait nettement « justifier » cette colère palestinienne : à l’approche des Festivités du 70e anniversaire de l’Etat d’Israël, Mahmoud Abbas a juste besoin de grimper sur l’une des collines de Ramallah pour apercevoir Jérusalem capitale d’Israël dans toute sa splendeur. Il lui suffit de survoler en hélicoptère le territoire israélien pour constater la richesse de ce pays… Et se dire qu’il y a 70 ans, son peuple et le peuple juif étaient exactement sur les mêmes starting bocks, tous deux contraints par l’ONU de partager un petit lopin de terre : les Israéliens ont accepté, les Arabes palestiniens ont refusé. 70 ans plus tard l’Etat d’Israël est une puissance régionale, une puissance technologique, militaire, agricole, médicale, courtisée par les plus grandes nations de la planète ; un Etat de plus en plus prospère dans lequel 80 % de la population est heureuse de vivre. Quant au peuple palestinien, il vit dans la misère, au crochet des nations donatrices. Il ne s’est jamais distingué, parmi ces Nations, autrement qu’en encourageant le terrorisme. Et l’Etat dont il rêve ne semble pas poindre à l’horizon. Alors sous ce prisme, effectivement, on comprend mieux pourquoi Abbas peste et pourquoi comme le veut la tradition palestinienne, il a la fâcheuse tendance à rejeter sur les autres, ses propres erreurs. Voila pourquoi, 70 ans plus tard, et alors qu’il a 83 ans, il n’a guère plus que les yeux pour pleurer…

Daniel Haïk

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