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9 Adar II 5784‎ | 19 mars 2024

Grand Rabbin Yossef-Haïm Sitruk zatsal

Lq tradition nous enseigne que l’on commence l’éducation des petits enfants par le livre de Vayikra et nos sages ajoutent : « Que viennent les enfants qui sont purs et étudient le Livre qui traite de la pureté ». Au-delà de cette tradition bien connue, le livre de Vayikra pose problème à nos contemporains qui s’interrogent sur l’actualité des sacrifices. LeRamban-Na’hmanide nous enseigne qu’il faut étudier les règles liées aux sacrifices afin que nous ne puissions pas oublier cette tradition et que le moment venu lors de construction du TroisièmeTemple de Jérusalem, nous puissions reprendre ce service sans délai. Mais il y a peut être une autre explication : le Korban, dont la racine est KRV (proximité) est une offrande faite en souhaitant qu’elle soit agréée par D.ieu. Les sacrifices représentent notre conviction qu’Hachem, dont on sait que le monde entier Lui appartient, aspire à ce que l’homme lui offre un cadeau. Lorsque nous offrons à D.ieu, nous lui confions en fait ce qui lui appartient. Si l’on veut faire plaisir à notre Créateur, nous devons lui offrir une partie de nous-mêmes. Dans notre relation avec le Tout Puissant, ce n’est pas le geste qui est déterminant, c’est l’état d’esprit dans lequel on l’accomplit. Si je veux faire plaisir à mon Créateur et si je veux être agréé par Lui, je dois mettre dans toute offrande une partie de moi-même, une partie de mon temps, une partie de notre fatigue, de notre intelligence. La Torah exhorte au don de soi et cela signifie bien que nous sommes restés volontaires pour le service divin. À notre époque, les hommes ne savent plus faire de sacrifices. Ils se sont immunisés contre des gestes spontanés. Le livre de Vayikra est pour nous l’occasion de retrouver une véritable relation avec Hachem, mais surtout de considérer le don de soi comme étant un geste cardinal. Il est évident que celui qui ne donne pas un peu de lui-même s’atrophie. Celui qui étudie la Torah, mais n’enseigne pas, celui qui est fort, mais qui ne fait profiter personne de sa force, celui qui est riche, mais qui ne donne rien, est un reflet de l’inutilité de l’être. La Torah veut entretenir en nous la flamme de l’existence, l’envie de vivre, et ce par l’offrande par le don. Le rav Éliyahou Dessler avait l’habitude de dire que l’on ne donne que ce que l’on possède vraiment. C’est un message qui nous pouvons et devons rappeler alors que nous entamons la lecture du livre de Vayikra.

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