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11 Kislev 5785‎ | 12 décembre 2024

LES GRANDES FIGURES DE LA ‘HASSIDOUT : LE RABBI DE KOTZK (1787-1859)

Haguesher vous conduit sur les traces d’une des grandes figures du monde de la Hassidout, rabbi Menahem Mendel Morgenstern, plus connu sous le nom du Rabbi de Kotzk.

 

 

Menahem Mendel Morgenstern naît en 1787, dans le village de Gurà, dans la banlieue de Lublin. Son père, rabbi Yehuda Leybush, est un mitnaged, un grand opposant au Hassidisme, à une période où ce courant prend de plus en plus d’ampleur en Europe de l’Est. Rien ne le prédestine à devenir l’un des grands maîtres hassidiques de son temps.

Dans sa jeunesse, Menahem Mendel est un illouï, considéré comme un véritable « don du Ciel » par ses parents. C’est à la yéchiva de Zamość, près de Lublin, qu’il fait ses armes. Il subjugue ses maîtres par le volume de ses connaissances talmudiques, et par son brillant esprit d’analyse. Après plusieurs années de Limoud intense, il se marie avec la fille de Reb Isaac Ney, personnalité fortunée de la ville voisine de Tomashov, qui lui assurera dès lors la subsistance pour le reste de ses jours, subodorant qu’il verrait un jour son gendre devenir un  grand érudit. Le jeune Menahem n’a alors que vingt ans.

 

Après son mariage, c’est auprès du H’ozé de Lublin, élève du Maguid de Mézerich et lui-même grand rebbe hassidique, qu’il décide de continuer à apprendre et adhère ainsi au monde de la Hassidout.

Pendant ces années, il s’attache particulièrement à l’un des plus fidèles élèves du H’ozé, Yaakov Itsh’ak de Pchis’hè, surnommé le Yid Hakadoch – le saint juif. Puis, à la mort de celui-ci, il se lie avec son fils, le célèbre rabbi Sim’ha Bounem de Pchis’hè. En 1827, ce dernier décède prématurément, et il faut alors une grande figure, un grand talmid ‘hakham, pour le remplacer et assurer la continuité du mouvement. Incité par ses pairs à reprendre le flambeau, rabbi Menahem Mendel devient le guide, le Rebbe, dans une cour qui ne va jamais cesser de croître. Le Rabbi est adulé par ses hassidim, mais aussi par de nombreux autres Juifs. Ses phrases justes, son talent oratoire, la profondeur du message qu’il véhicule, en font rapidement l’une des grandes figures du monde hassidique de l’époque.

Malheureusement, une grave polémique avec les habitants de la ville, l’oblige à se déplacer. Le Rabbi va alors s’installer avec ses hassidim à Kock (lire « Kotzk ») à 45 kilomètres de Lublin, où il va développer son enseignement.

 

 

La quête du Emet

 

Selon le Rebbe, la vérité se cherche dans la Torah et le Talmud. Il cite en ce sens le Gaon de Vilna, qui fut pourtant un adversaire farouche du hassidisme, comme exemple à suivre en la matière.

Il adopte volontairement un point de vue radical, toujours opposé aux demi-mesures, affirmant par exemple qu’il vaut parfois mieux être complètement mauvais que partiellement bon, et qu’il vaut mieux ne pas étudier que tirer orgueil de son étude. Sur ce point, le caractère en apparence extrémiste de sa pensée, ne sera pas repris par ses étudiants.

A la question que lui auraient posée ses talmidim, lui demandant pourquoi il ne veut pas publier ses écrits, il aurait répondu : « de deux choses l’une : si celui qui achète mon livre sait étudier, celui-ci ne lui sert à rien, car il peut étudier seul, et s’il ne sait pas étudier, mon livre restera certainement sur l’une de ses étagères, et il ne lira même pas ».

Le Rebbe serait même allé plus loin dans sa démarche : la légende veut qu’il ait brûlé ses écrits une veille de Pessa’h.

 

Les tourments de la vérité

A la suite d’un différend avec l’un de ses plus fidèles élèves, rav Mordékhaï Yossef Leiner (futur Admour de Ishbitz), le Rabbi de Kotzk passe les vingt dernières années de sa vie enfermé dans une chambre, pour ne sortir qu’à d’exceptionnelles occasions. On dit de lui qu’alors, il tente de résumer en une seule page, l’histoire de l’Homme et de ses combats contre le mensonge. Rabbi Menahem Mendel de Kotzk croit pouvoir relever un tel défi. Il s’éteint le 22 Chevat 5719 (27 janvier 1859). Il sera alors  remplacé par Rabbi Isaac Meir Alter (aussi connu sous le nom de son ouvrage, le ‘hidoushei ‘harim).

 

A.L

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