ANALYSE
Ce début du XXIème est déjà celui des génocides religieux islamistes
Cent ans après que l’Europe ait colonisé presque la moitié du monde, et que la Révolution bolchévique ait commencé – bien avant les horreurs nazies – à perpétrer des massacres de masse en Russie au nom de la « lutte de classes », voilà maintenant le temps des génocides commis au nom de l’islam…
On se souvient que plus de 100 millions de personnes ont été assassinées – surtout en Europe – de 1914 à 1945 à l’occasion des deux grandes guerres mondiales, de la Révolution russe suivie par l’ère stalinienne, et du nazisme qui réussit à conquérir, à la vitesse de l’éclair, plus des trois-quarts du Vieux-Continent. Et ce, parce que les communistes russes tout comme les hordes nazies voulaient, chacun à leur manière, « refaire le monde ».
Or, au vu des atroces tueries, massacres et saccages en série déjà perpétrés depuis l’an 2000 par les groupes armés musulmans, se réclamant avec autant de fierté que de fanatisme de « l’islam authentique », tels Daesh, Al-Qaïda et leurs disciples –, on peut se demander si une nouvelle ère génocidaire n’a déjà pas commencé, sous nos yeux ébahis et presque incrédules…
Des chiffres et des méthodes qui ne trompent pas !
Sans pouvoir faire ici l’inventaire complet et bel et bien terrifiant, des destructions et de massacres de masse commis par les groupes islamiques, citons en vrac : l’annihilation en mars 2001 des immenses statues de de Bouddha taillée dans le roc à Bamiyan par les Talibans afghans, suivie quelques temps après par l’attaque hallucinante des deux plus grandes Tours commerciales de New York au moyen des deux avions civils de ligne détournés par des commandos saoudiens d’Al-Qaïda qui firent près de 3 000 morts ; l’assassinat de sang-froid perpétré courant 2014 par les tueurs de Daesh contre 1 566 élèves-soldats chiites fauchés aux fusils mitrailleurs – et parfois aussi décapités au sabre et au couteau – dans le camp Speicher en Irak. Le tout suivi, peu après, par la suppression systématique, des mois durant (accompagnée de viols et de la mise en esclavage sexuel des femmes et des jeunes filles) de 15 000 Yazidis irakiens par les fanatiques glacés de Daesh qui, parallèlement, entreprirent de détruire des milliers de sites archéologiques de l’ancienne Mésopotamie (comme à Sinjar, Ninive puis Palmyre) appartenant au patrimoine culturel de l’humanité, ainsi que de vieux monastères chrétiens de ces régions ayant jusque-là pu traverser l’Histoire des siècles durant… Et ce, sans que l’administration du pacifiste Obama ni aucun gouvernement européen « éclairé » – toujours prompts à faire, après coup, des déclarations faisant part de leur « profonde indignation » – n’aient levé le moindre petit doigt pour empêcher ces tueries et ces saccages !
L’Europe maintenant incubatrice de l’islamisme extrémiste…
Depuis 2012, plus de 5 000 jeunes Musulmans – fanatisés sur place et/ou déjà convertis de fraîche date à l’islam dans les quartiers surpeuplés des grandes villes européennes – ont été exportés par le Vieux-Continent en Irak et en Syrie, essentiellement pour intégrer les rangs serrés de Daesh. Et quand certains d’entre eux sont revenus parfaitement « formés » de ces régions du Moyen-Orient, où ils ont fait régner une terreur indicible en s’« exerçant » sadiquement sur place contre les corps vulnérables des « Infidèles », on a assisté à une vague sans précédent d’attentats barbares et meurtriers comme ceux de Paris, de Londres, de Manchester, de Berlin et de Barcelone – souvent plusieurs fois réitérés dans la plupart de ces villes…
On assiste donc au paradoxe aberrant suivant : alors que nombre de pays musulmans ont su déjà prendre des mesures efficaces pour enrayer chez eux les progrès de l’islam radical, seule l’Europe (au nom de sa si chère « Protection des droits de l’Homme » et de la « Liberté d’expression »), a été incapable d’empêcher la propagation de l’islam assassin.
Triste constat pour un continent – devenu décidément très « vieux »… – qui fut voilà cent ans le terreau du nazisme et du communisme exterminateurs !