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6 Heshvan 5785‎ | 7 novembre 2024

Les véritables origines des Palestiniens

Depuis des décennies, le leadership de l’OLP, Yasser Arafat en tête, a prétendu que les Palestiniens sont des « descendants directs » des Cananéens, la principale peuplade qui s’était implanté en Erets Israël avant même l’arrivée du peuple hébreu il y a plus de 3000 ans. Or, élaboré afin de nier tout lien entre le peuple d’Israël et sa terre, ce narratif palestinien manipulateur et propagandiste est totalement mensonger… En effet, l’écrasante majorité de ceux qui se disent Palestiniens aujourd’hui viennent des pays arabes alentour !

 

S’appropriant délibérément et pour les besoins de leur « cause », l’histoire de l’invasion cananéenne, il y a plus de 37 siècles,  les leaders palestiniens d’aujourd’hui se sont ainsi inventés de fausses origines afin d’amplifier leur propagande vis-à-vis du monde occidental, et ce faisant, de délégitimer tout droit du peuple d’Israël sur sa terre au nom de leurs prétendus « droits historiques antérieurs ». Un parti-pris négationniste qui exclut évidemment toute ouverture de paix – soit pour maintenant ou pour plus tard ! – avec les Juifs dans cette région, surtout quand les dignitaires de l’OLP ne cessent de qualifier l’histoire juive locale de « pot-pourri de légendes et de pures inventions », comme l’avait fait l’ex-ministre palestinien, Nabil Shaat, en ajoutant, bien avant les dernières résolutions adoptées par l’UNESCO sur Jérusalem : « Les Juifs n’ont aucune connexion avec ce pays, ni dans l’Histoire contemporaine, ni dans l’histoire ancienne. C’est la Grande-Bretagne qui a détruit la Palestine en ouvrant la voie aux colons juifs qui ont dépossédé le pays de ses véritables propriétaires ! »

 

Le mythe « cananéen » brandi par les chefs palestiniens d’aujourd’hui

 

Or, quand on étudie de près cette prétention usurpatrice du « narratif cananéen » il s’avère qu’aucune tribu, famille ou clan palestiniens d’aujourd’hui n’ont de réelles origines ni ne s’identifient avec des racines cananéennes. En effet, la plupart des enquêtes ethniques et démographiques approfondies réalisées depuis des décennies auprès des différentes populations arabo-palestiniennes d’Israël, souvent ville par ville, montrent que l’écrasante majorité d’entre eux sont fiers d’appartenir aux différentes tribus arabes de Syrie et/ou du Hedjaz (l’Irak, voire une partie du Yémen d’aujourd’hui), pendant que d’autres familles palestiniennes ont des racines égyptiennes, libanaises, kurdes, voire même… crypto-juives (comme une partie de celles résidant à Hébron).

Ainsi, du fait des incessantes migrations intervenues dans tout le monde arabe et la région, la seule famille du nom de Kanaan habitant de nos jours à Che’hem (Naplouse) a des origines moitié chrétiennes, moitié syriennes !

De plus, même à l’époque de la très longue domination ottomane, plus de 4 siècles, sur toute la région, « il n’existait aucune entité politique connue sous le nom de Palestine, explique l’historien palestinien Mohammed Mouslih. Car en arabe, cette zone portait soit le nom de ‘Al-Ard al-Moukdassa (la Terre sainte), soit celui de Sourya Janoubiyya (Sud-Syrien). Et pas du tout “Palestine” ! ».

Il faut savoir aussi, comme l’a longuement démontré Pin’has Inbari, chercheur au Jerusalem Center of Publics Affairs (JCPA) dans une récente étude sur la question, que ce « narratif cananéen » est pour la 1re fois apparu au moment de la chute de la monarchie hachémite en Syrie, en 1920, et à son incorporation dans le Mandat français sur la Syrie, pendant que le roi déchu Fayçal était dépêché en 1921 par les Anglais pour régner sur l’Irak : « Or, c’est à partir de 1916, relève-t-il, que la première génération de leaders musulmans – appelés ensuite “palestiniens” – prit part à la Grande Révolte des Arabes hachémites syriens. Suite à quoi leurs chefs, qui étaient alors membres de l’administration hachémite de Syrie, émigrèrent en Palestine, notamment après la chute de leur roi Fayçal ! ».

Un mouvement migratoire qui ne fit que s’amplifier ensuite vers Erets Israël en provenance de tous les pays arabes alentour, quand les pionniers juifs du Yichouv réussirent avec succès à faire fructifier une terre restée en jachère pendant 19 siècles.

 

De remarquables contradictions historiques et sémantiques entre l’AP et le Hamas de Gaza…

 

Parallèlement au fait bien connu que la société palestinienne de Judée-Samarie est très divisée et éclatée entre différents clans familiaux et tribaux correspondant aux différentes grandes villes de cette région, il est notable de remarquer que le « narratif » historique avancé par l’AP diffère totalement de celui du Hamas de Gaza !

Ainsi, Saëb Erakat, le chef négociateur actuel de l’AP, revient sans cesse dans tous les forums internationaux et devant la presse sur le fait que ses propres origines sont cananéennes (alors qu’il s’avère que sa famille est celle des Ashraf appartenant à la tribu des Houweïtat ayant émigré de Médine – dans la péninsule arabique – vers le désert syrien pour s’installer ensuite dans la région d’Akaba, puis à Ajloun, Amman, Jéricho et Abou Dis en Jordanie) en qualifiant chaque fois au passage l’ancienne conquête de la « Palestine » par Josué de « crime de guerre » : « Je suis moi-même un fils de Jéricho !, osa-t-il notamment lancer le 1er février 2014 à sa partenaire israélienne des négociations de paix d’alors, Tsipi Livni, restée pantoise. Mon âge – 10 000 ans ! Je suis un fier descendant des Cananéens, et j’étais déjà là voilà 5 000 ans, 500 ans avant l’arrivée de Josué Bin-Noun qui a brûlé ma ville, Jéricho. Voilà pourquoi je ne négocierai pas sur mon Histoire au prétexte qu’Israël me demande de le reconnaître comme un “Etat juif” ! ».

Or le narratif en la matière des leaders du Hamas n’est pas du tout le même : « Qui sont les Palestiniens ?, devait ainsi déclarer le 23 mars 2012 Fathi Hammad, ministre Hamas de l’Intérieur et de la Sécurité nationale à Gaza. Beaucoup de nos familles portent le nom de Masri dont les racines sont égyptiennes : elles peuvent venir d’Alexandrie, du Caire, d’Ouimet, du nord du Pays du Nil, d’Assouan et de la Haute-Egypte. Nous sommes en fait Egyptiens. Nous sommes arabes. Nous sommes Musulmans. Peuple d’Egypte, nous faisons partie intégrante de toi ! Personnellement, ma famille est pour moitié égyptienne et pour moitié saoudienne ».

 

L’usurpation systématique et permanente du mot « Palestine »

 

Or le mot « Palestine » lui-même – qui n’a jamais été un vocable arabe – fut donné, bien après, par les envahisseurs romains pour désigner Erets Israël et surtout la Judée qu’ils avaient mis si longtemps à conquérir et à fléchir à partir des premières décennies du 1er siècle jusqu’à la défaite historique du général hébreu Bar-Kokhba à Bétar, en 135 de l’ère commune…

« Palestine », ce nom d’emprunt sciemment donné après la 2e destruction du Temple de Jérusalem par les légions de Titus, justement pour éradiquer jusqu’au souvenir même du mot Judée, traversa l’histoire et désigna pendant de longs siècles les contrées d’Erets Israël… Si bien qu’au début du long processus du retour des Juifs sur leur terre au 19e siècle, on appelait « Palestiniens » les habitants juifs du Yichouv qui venaient alors s’établir peu à peu en « Palestine ». A tel point que dans tout le monde juif de l’époque, le mot « Palestiniens » ne désignait que ces pionniers juifs revenus au Pays des hébreux !

Mais le comble de ces manipulations mensongères et pernicieuses d’aujourd’hui, c’est l’amalgame pseudo-compassionnel de l’invocation, par l’OLP et ses chefs, des premières figures marquantes du christianisme pour délégitimer les prétentions juives historiques sur Erets Israël ! On se rappelle ainsi la déclaration – mi provocation, mi boutade ! – lancée durant l’été 1982 par Yasser Arafat, alors chef de l’OLP et lui-même d’origine égyptienne, sur le paquebot (affrété par la France) qui amena à Tunis toute son armada expulsée de Beyrouth par Tsahal, expliquant aux journalistes à bord que les Palestiniens étaient des « descendants de Jébuséens » (une peuplade dite cananéenne) : « Jésus était en fait le premier Palestinien !, a-t-il ainsi déclaré en manipulant grossièrement l’Histoire de la région et de ses religions (…) Car nous, les Palestiniens, nous sommes les Juifs des Juifs »…

 

« Les Palestiniens réécrivent l’Histoire comme l’ont fait les Romains ! »

 

Invité tout récemment à faire une conférence à Londres au Royal United Service Institute devant une assistance de journalistes et de diplomates par le colonel britannique Richard Kempf (ex-officier supérieur de l’OTAN en Bosnie et ancien commandant des forces britanniques en Afghanistan devenu un fervent défenseur d’Israël dans les médias et sur la scène internationale), Dor Gold, actuel président du Jerusalem Center of Public Affairs et ex-directeur du ministère israélien des Affaires étrangères, a comparé les méthodes de falsification historique utilisées jadis par les Romains à celles de la propagande palestinienne d’aujourd’hui :  « C’est l’empereur Hadrien et son entourage qui ont forgé le terme “Palestine” après la défaite juive de 135 afin d’effacer toute trace d’une Judée juive. Ce sont aussi eux qui ont rebaptisé la Jérusalem qu’ils venaient de raser en Aelia Capitolina, a-t-il fait remarquer en rappelant les données factuelles incontestables de la longue présence juive en Erets Israël. C’était là la méthode des Romains voilà dix-neuf siècles, et c’est maintenant la méthode des Palestiniens d’aujourd’hui : nous voler notre identité en déformant l’Histoire ». Et d’ajouter en vue d’une juste compréhension des réalités du conflit israélo-palestinien : « De même que cela n’a pas marché à l’époque des Romains puisque nous sommes bel et bien revenus sur notre terre 19 siècles après leur pseudo-victoire, cela ne marchera pas non plus aujourd’hui ! ».

 

L’analyse pertinente de Guy Millière sur la question

« Pourquoi le peuple palestinien fut-il inventé ? »

 

« La notion de “peuple palestinien”, a expliqué Millière dans une récente tribune, n’est apparue que début 1970 : l’OLP devait au départ “libérer” le territoire d’Israël – donc détruire Israël et exterminer les Juifs – sans toucher à la Judée-Samarie que la Jordanie avait annexée à son territoire de 1949 à 1967 et qu’elle souhaitait retrouver. (…)  Depuis le début des années 1970, les Arabes vivant sur la terre d’Israël et en Judée-Samarie se sont vus répéter qu’ils étaient le “peuple palestinien”, tout comme les Arabes ayant quitté Israël en 1948 et qui sont maintenus artificiellement dans des camps dans des pays tels que le Liban, la Jordanie et la Syrie. C’est 1re fois dans l’histoire qu’un peuple a été inventé de cette façon. (…) Cette invention a donné à ce “peuple” une identité reposant sur une falsification de l’histoire ».

Et d’ajouter à propos des manipulations d’aujourd’hui : « Les propagandistes palestiniens disent que le peuple palestinien existe depuis longtemps en prétendant parfois que ses membres sont les descendants des Philistins de l’Antiquité, ce qui est historiquement faux. Cette invention a eu pour fin d’occulter l’histoire des Juifs en Israël. Les propagandistes “palestiniens” affirment ainsi que les Juifs n’ont aucun passé sur les terres d’Israël, ce qui est non seulement faux, mais relève aussi du négationnisme puisqu’en niant le passé des Juifs sur cette terre, c’est l’existence du peuple juif lui-même qui se trouve ainsi niée. Cette invention, surtout, a été conçue pour faire du “peuple palestinien” fabriqué une grande arme de destruction massive destinée à annihiler concrètement un autre peuple, puisque l’objectif assigné aux “Palestiniens” est de “libérer” cette terre en détruisant Israël et en exterminant les Juifs. (…) C’est la première fois dans l’histoire qu’un peuple a été inventé aux fins de devenir une grande arme de destruction massive destinée à annihiler concrètement un autre peuple. C’est une invention monstrueuse aux dépens d’Israël et du peuple juif. C’est aussi une invention monstrueuse à l’encontre des Arabes dont on fait le “peuple palestinien”, car transformer des êtres humains en armes de destruction par fanatisation consiste à en faire délibérément des monstres sacrificiels appelés à finir dans un bain de sang. Cette invention est dès lors un double crime contre l’humanité : l’un est commis contre le peuple juif, l’autre contre ces Arabes dont on a fait le “peuple palestinien” ! ».

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