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11 Nisan 5784‎ | 19 avril 2024

Pour Ozar Hatorah, Limoud et éducation sont des valeurs prioritaires !

L’ambiance était festive et chaleureuse le 15 mars, lors du dîner annuel du réseau scolaire orthodoxe Ozar Hatorah aux Docks Pullman. Haguesher était présent.
Environ sept cent cinquante personnes ont participé le 15 mars au dîner de gala annuel du groupe scolaire Ozar Hatorah dans une ambiance particulièrement chaleureuse. En effet, les donateurs potentiels ou déclarés n’étaient pas les seuls présents. Des dizaines d’enseignants se sont joints aux convives. Ainsi, parents et professeurs ont pu dialoguer dans une atmosphère décontractée aux docks Pullman d’Aubervilliers (Seine-Saint-Denis).
La voix de l’incontournable chanteur ‘hassidique Avraham Fried a ponctué, par deux fois, les allocutions du nouveau président du réseau orthodoxe, Francis Ach qui a pris ses fonctions en juillet 2016, et du grand rabbin de Paris, le rav Michel Gugenheim. Le premier a rendu hommage à son prédécesseur, le rav Jean-Paul Amoyelle – fondateur du plus grand groupe scolaire juif français, qui s’est dévoué corps et âme à Ozar Hatorah pendant cinq décennies avant de prendre sa retraite en Israël. Il a affirmé que les dix-sept écoles du groupe, accueillant trois mille cinq cents élèves, représentaient à ses yeux « la colonne vertébrale du peuple juif » en France. « Nous réalisons l’injonction biblique consistant à transmettre la Torah à notre descendance et ne jamais oublier les paroles d’Hachem », a dit Francis Ach. Le rav Gugenheim l’a félicité pour son « courage » : « Il en faut, a-t-il lancé, pour reprendre le flambeau laissé par une personnalité aussi forte que le rav Amoyelle ! » Puis, le grand rabbin a insisté sur la distinction nécessaire entre enseignement – limoud, en hébreu – et éducation – ‘hinoukh. Le limoud, c’est l’apprentissage des connaissances. Le ‘hinoukh, c’est l’incitation morale à la pratique des mitsvot et du derekh eretz. Or, a déclaré l’orateur, Ozar Hatorah estle réseau par excellence qui cherche constamment à concilier enseignement et éducation, à faire vivre conjointement ces deux faces de la pédagogie ». Et de commenter un passage de la paracha Vayéra: « D.ieu proclame qu’il aime Avraham Avinou car celui-ci ordonne à ses enfants de suivre le chemin de la Torah. Mais pourquoi met-il cela en avant et non les immenses qualités du patriarche, notamment sa générosité ? Parce que l’essentiel, c’est le ‘hinoukh », a conclu le rav Gugenheim.
Quand est venu le moment des appels aux dons, le public s’est montré à la hauteur de l’enjeu. Aucun chiffre n’a été communiqué (il est trop tôt pour faire les comptes), mais les responsables d’Ozar Hatorah enregistrent chaque saison depuis 2014, année de la première édition du dîner, une hausse de 20 à 25 % des sommes récoltées. Une performance en période de crise économique et d’alya massive.
Cela permet de pérenniser un groupe qui s’enorgueillit d’un taux de réussite au bac de 98 % et de 50 % d’élèves décrochant une mention. Quant aux 100 à 150 cenfants et adolescents qui rejoignent le réseau chaque année en provenance des établissements publics, souvent pour motif sécuritaire, ils s’intègrent parfaitement bien et deviennent des as du kodech – même si leur famille est peu pratiquante – grâce à des structures de petite taille, adaptées à une pédagogie ambitieuse.
Axel Gantz

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